En salles : G.I. Joe Le Réveil du Cobra, a fait un démarrage tonitruant puisque depuis sa sortie, il a récolté 100,2 millions de dollars dans le monde entier : 56,2 millions aux States-Canada et 44 millions dans le reste du monde. Soit, selon Variety, un des meilleurs démarrages de tous les temps pour le mois d'août !
Et toi, tu te poses peut-être encore cette question : "Faut qu'j'y aille ou Fuck G.I. ?" J'y suis allé. Aussi puis-je te résumer l'affaire : G.I. Joe est la quintessence du blockbuster. Histoire simpliste dont on se contrefout, situations aberrantes ou grotesques et séquences d'action survitaminées, personnages caricaturaux mais attachants, explosions à foison, effets spéciaux omniprésents.
Quintessence
A force de lire ici et là que Stephen Sommers avait raté son adaptation, j'étais parti accompagner mes gamins en m'attendant au pire. Et franchement, ce n'est pas la daube que certains annoncent. C'est vrai que ce n'est pas fin, c'est même bourrin mais à ma décharge, je suis bon public, j'aime les blockbusters (même bourrins) et j'étais trop vieux pour être à fond dans l'univers G.I. Joe quand j'étais jeune.
Or, beaucoup d'avis négatifs portent justement sur la comparaison avec les dessins animés qui ont scotché devant leur télévision un grand nombre de trentenaires. Alors forcément, si les personnages du grand écran ne sont pas exactement ceux du petit écran, ça irrite les fans.
Premier degré
A part ça, le film se laisse regarder malgré les défauts sus-mentionnés. Les acteurs (Channing Tatum, Dennis Quaid, Joseph Gordon-Levitt, Marlon Wayans, Saïd Taghmaoui, Sienna Miller, Adewale Akinnuoye-Agbaje) jouent à fond leur personnage sans avoir la possibilité de l'étoffer. Seul Marlon Wayans en fait un peu trop mais à personnage caricatural, interprétation idoine.
Bref, il faut aller voir G.I. Joe avec un état d'esprit "premier degré", si possible en y accompagnant vos garçons (pas la peine d'emmener votre fille, elle vous traînera à College Rock Stars), vos neveux, vos p'tits cousins. Ne cherchez pas à réfléchir, comparer ou analyser : regardez et laissez-vous gagner par l'enthousiasme du jeune public. Sinon, gardez vos ronds et attendez la sortie d'Inglourious Basterds.
Anderton
Et toi, tu te poses peut-être encore cette question : "Faut qu'j'y aille ou Fuck G.I. ?" J'y suis allé. Aussi puis-je te résumer l'affaire : G.I. Joe est la quintessence du blockbuster. Histoire simpliste dont on se contrefout, situations aberrantes ou grotesques et séquences d'action survitaminées, personnages caricaturaux mais attachants, explosions à foison, effets spéciaux omniprésents.
Quintessence
A force de lire ici et là que Stephen Sommers avait raté son adaptation, j'étais parti accompagner mes gamins en m'attendant au pire. Et franchement, ce n'est pas la daube que certains annoncent. C'est vrai que ce n'est pas fin, c'est même bourrin mais à ma décharge, je suis bon public, j'aime les blockbusters (même bourrins) et j'étais trop vieux pour être à fond dans l'univers G.I. Joe quand j'étais jeune.
Or, beaucoup d'avis négatifs portent justement sur la comparaison avec les dessins animés qui ont scotché devant leur télévision un grand nombre de trentenaires. Alors forcément, si les personnages du grand écran ne sont pas exactement ceux du petit écran, ça irrite les fans.
Premier degré
A part ça, le film se laisse regarder malgré les défauts sus-mentionnés. Les acteurs (Channing Tatum, Dennis Quaid, Joseph Gordon-Levitt, Marlon Wayans, Saïd Taghmaoui, Sienna Miller, Adewale Akinnuoye-Agbaje) jouent à fond leur personnage sans avoir la possibilité de l'étoffer. Seul Marlon Wayans en fait un peu trop mais à personnage caricatural, interprétation idoine.
Bref, il faut aller voir G.I. Joe avec un état d'esprit "premier degré", si possible en y accompagnant vos garçons (pas la peine d'emmener votre fille, elle vous traînera à College Rock Stars), vos neveux, vos p'tits cousins. Ne cherchez pas à réfléchir, comparer ou analyser : regardez et laissez-vous gagner par l'enthousiasme du jeune public. Sinon, gardez vos ronds et attendez la sortie d'Inglourious Basterds.
Anderton
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