Artistes : Bashung is dead…No comment. Si ce n’est en quelques lignes pour évoquer sa courte mais incandescente carrière au ciné. Entamée sous les auspices d’Arrabal – Le cimetière des voitures, 1983 - et achevée sous celles de Samuel Benchetrit, il aura traîné sa dégaine entre cimes et sondes. Une vingtaine de films, quelques B.O., peu d’oeuvres marquantes, juste une présence, une étoffe, tel un Mitchum made in Europa.
Fantaisie militaire en 5 titres :
Un père incestueux diabolique dans L’Ombre du doute d’Aline Isserman (1992)
Un taulard mélancolique dans La confusion des genres d’Ilan Duran Cohen (2000)
Une petite frappe louche dans Nestor Burma de Jean-Luc Miesch (1982)
Un amant incandescent face à Fanny Ardant dans Rien que des mensonges de Paule Muret (1991)
Un chanteur en tournée qui en croise un autre le temps d’une cigarette dans J’ai toujours rêvé d’être gangster…(2008)
Et puis, des B.O. : la musique de Félix et Lola, de Patrice Leconte, Ma Petite entreprise de Pierre Jolivet, ou, plus inattendu, du Jeune Werther de Jacques Doillon.
Un météore dans l’univers des stars…
Travis Bickle
Fantaisie militaire en 5 titres :
Un père incestueux diabolique dans L’Ombre du doute d’Aline Isserman (1992)
Un taulard mélancolique dans La confusion des genres d’Ilan Duran Cohen (2000)
Une petite frappe louche dans Nestor Burma de Jean-Luc Miesch (1982)
Un amant incandescent face à Fanny Ardant dans Rien que des mensonges de Paule Muret (1991)
Un chanteur en tournée qui en croise un autre le temps d’une cigarette dans J’ai toujours rêvé d’être gangster…(2008)
Et puis, des B.O. : la musique de Félix et Lola, de Patrice Leconte, Ma Petite entreprise de Pierre Jolivet, ou, plus inattendu, du Jeune Werther de Jacques Doillon.
Un météore dans l’univers des stars…
Travis Bickle
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire