En salles. Toorop (Vin Diesel) a des gros bras tatoués et aime le civet de lapin : c'est donc un idéaliste. Malheureusement, il est un peu concon et ne réfléchit pas outre mesure lorsqu'on lui propose de convoyer une jeune fille jusqu'à New York. Sans s'en douter, il devient ainsi l'instrument d'une machination visant à asseoir le pouvoir d'une secte impitoyable sur le monde. Parviendra t-il à se ressaisir à temps ? Rien n'est moins sûr...
Pour Babylon A.D., l'adaptation du chef-d'oeuvre de Dantec (Babylon Babies), Mathieu Kassovitz a invoqué toutes les caricatures possibles du film d'anticipation : du magnat siphonné et ses motards de l'apocalypse aux grands prêtres perfides et leurs soutanes cintrées. Il est évident que vouloir synthétiser 700 pages foisonnantes en 1h30 assomante demande de prendre quelques raccourcis. Kasso n'en oublie aucun et il en résulte une tambouille au message simpliste et à la bande son tonitruante.
Pour Babylon A.D., l'adaptation du chef-d'oeuvre de Dantec (Babylon Babies), Mathieu Kassovitz a invoqué toutes les caricatures possibles du film d'anticipation : du magnat siphonné et ses motards de l'apocalypse aux grands prêtres perfides et leurs soutanes cintrées. Il est évident que vouloir synthétiser 700 pages foisonnantes en 1h30 assomante demande de prendre quelques raccourcis. Kasso n'en oublie aucun et il en résulte une tambouille au message simpliste et à la bande son tonitruante.
Même les effets spéciaux (lors d'une interview dans le cadre de la promo du film, Kassovitz s'est dit plus ingénieur que metteur en scène...) sont plus grandiloquents qu'efficaces. Rien de nouveau sous le soleil aride de la SF "française".
Mon conseil : à voir pour la voix de Vin Diesel
Sentenza (de retour...)
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