Avec ce récit des échappées oniriques d'une jeune fille innocente confrontée à la perversité de son beau-père, il nous touche bien plus profondément que trois castagnes de vampires dans une cave embrumée... Et pour une fois, le pire des monstres n'est pas le plus moche (mention spéciale à Sergi Lopez : il est exceptionnel).
La juxtaposition de l'univers imaginaire que se construit Ofélia (la petite fille) à celui d'une guerre forcément horrible n'est jamais artificielle: on l'accepte sans percevoir l'incompatibilité du rêve et de la réalité. C'est bien, c'est beau et c'est intelligent : qui dit mieux ?
Mon conseil: A revoir.
Mon conseil: A revoir.
Sentenza (ancien karateka)
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