Faut tirer un trait sur les bonnes blagues
La dernière grande grève à l'appel de leur syndicat, la Writers Guild of America, avait duré 22 semaines en 1988 et coûté 500 millions de dollars à l'industrie. Un mouvement d'une telle durée coûterait aujourd'hui le double, estime un économiste spécialisé dans le secteur.
La grève devrait toucher dans un premier temps les talk shows, qui se nourrissent de bons mots écrits par des auteurs professionnels, et les sitcoms.
L'impact sera moindre sur les films et les séries télévisées, les studios disposant d'une réserve de textes pour l'an prochain. Les acteurs et les réalisateurs, dont les contrats expirent en 2008, suivent de près le mouvement, les conditions obtenues par les scénaristes servant de référence à leurs propres négociations.
Marcel Martial (jamais en panne.)
2 commentaires:
ça c'est une greve qui fait pas chier tout le monde au moins !
La plume sera toujours plus forte que les pets... Très classe, la photo. Question illustration, je frémis de peur à l'idée d'une grève des machinistes...
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