lundi 5 avril 2010

L'équipe de Cineblogywood se présente

Sur le web : Depuis le 6 septembre 2006, date du premier post publié sur Cineblogywood.com (rejoignez notre fan club sur Facebook), l'équipe s'est agrandie. Aujourd'hui, nous sommes huit à vous balancer, plus ou moins régulièrement (on a tous un vrai métier donc pas toujours le temps !), nos coups de coeur et nos coups de gueules, nos bonnes infos et nos grosses conneries. Si possible avec style et humour. Il était donc temps de nous présenter.





Anderton

De même qu'il n'y a qu'un cheveu sur la tête à Matthieu, il n'y a qu'un oeil sur le visage d'Anderton mais c'est suffisant pour suivre l'actualité du 7e art et mater des films à la chaîne. Anderton adore les cinéastes stylés, les blockbusters bourrins, les comédies crétines et les acteurs habités. Spielberg, Hitchcock, Scorsese, De Palma, de Broca, Sautet, Fellini, Risi, Apatow, Disney figurent dans son panthéon. Parmi beaucoup, beaucoup d'autres.

Twitter : @Cineblogywood
Découvrez les articles d'Anderton





Black Mamba
Les comédies romantiques lui font tourner la tête et Black Mamba n'est pas insensible à la baguette magique d'Harry Potter. Mais le cinéma qui donne à réfléchir, elle aime aussi. Et sa plume peut-être aussi tranchante que le sabre de l'héroïne de Kill Bill. Il faut bien ça pour survivre dans cette équipe gonflée à la testostérone.
Découvrez les articles de Black Mamba




Johnson & Johnson
Comme les agents du FBI dans Piège de cristal, ils n’ont pas de liens de parenté. Avec eux, c’est blanc ou noir, mais d’une seule voix. Quand certains crient au génie, eux ne font pas de prisonniers, pas de quartiers, pas de compromis, pas de détails. Incorruptibles sauf si on leur offre des trucs bien, ils ne parlent pas souvent, mais leur débit est typique du tacatac du AK-47, aurait dit le sergent Highway du Maître de Guerre. Ils improvisent, ils s’adaptent et à la fin, ils gagnent toujours.
Découvrez les articles de Johnson & Johnson



Marcel Martial

Le seul homme au monde capable de s’extasier à la fois devant Le Limier de Mankiewicz, Gladiator de Ridley Scott et Change de trou ça fume de Marc Dorcel. C’est tout de même devant La Couleur Pourpre qu’il utilisera le plus de kleenex, car sous un cœur de pierre se cache une sensibilité de fils unique. Il peut passer autant de temps devant un film de SF, une série B Gore, un Blockbuster US, un inédit vidéo que devant un boulard tchèque, un mélo français, une série anglaise. Bref, il est boulimique d’images qui se suivent et ne se ressemblent pas.
Mail : marcelomartial@gmail.com
Découvrez les articles de Marcel Martial






Marge S.
C'est bien simple, quand Marge S. sort d'une salle de cinéma, c'est pour se rendre dans un festival. Cannes, Udine ou La Rochelle n'ont pas de secret pour elle. Ses deux passions : les films d'auteur et les comédies. Les grosses machines hollywoodiennes, elle laisse ça aux gars de l'équipe.
Découvrez les articles de Marge S.




Marsellus Wallace
Il pourrait bien vous envoyer Jules et Vincent si vous n’étiez pas de son avis… Inconditionnel de Quentin Tarantino, Danny Boyle et Tim Burton, il aime les originaux. Les singuliers. Ceux qui ne font jamais deux fois le même film. De la SF à la comédie musicale, en passant par le gore ou le western, il aime tous les genres. Sauf le sado-maso depuis qu’il s’est fait attrapé comme un salaud dans une cave…
Découvrez les articles de Marsellus Wallace (et là aussi)

Mail : marsellus.cineblog@gmail.com




Sentenza
Il n'aime rien, il n'aime personne. A l'exception de Steven Seagal, et ce n'est pas réciproque. Bercé par Chuck Norris, Sentenza éprouve depuis sa plus tendre enfance une grande tendresse envers les héros couillus et un peu concon. Il pense en effet que magnifier la condition humaine passe inévitablement par quelques tatanes et un clin d'oeil. Sinon il apprécie Isabelle Carré. Pas forcément pour le mêmes raisons.
Découvrez les articles de Sentenza
Mail : sentenza@gmail.com



Travis Bickle
Les salles obscures, c'est son univers. Avec une prédilection pour les films d'auteur et les classiques. Il ne jure que par Cassavetes et Antonioni, c'est dire. Mais pas que : Scorsese, Cimino, Coppola, Lumet, Sautet, Tavernier, Corneau, Blier, Polanski, Mankiewicz, Malick, Ceylan, Kurosawa, Kubrick, et beaucoup d'autres...Après de longues années de lobbying, Anderton est même parvenu à lui faire apprécier Spielberg - pas tous, faut pas pousser non plus ! Son challenge : que Marcel Martial place dans son top 3 au moins UN film de Rohmer. Bref, le cinéma, selon Travis Bickle, il faut que ça fasse réfléchir, que ça remue, que ça dérange. Et que ça bouleverse. Surtout dans les salles obscures.
Twitter : @Slybono
Découvrez les articles de Travis Bickle

Aucun commentaire: