En salles : 124 ! C’est très précisément le nombre de courts-métrages que j’ai vus – que dis-je ? – avalés, ingurgités, engloutis en cinq jours seulement. Depuis le 26 janvier et jusqu’au 3 février a lieu le festival international du court-métrage de Clermont-Ferrand. 29ème édition, donc autant dire que dans le domaine, c’est une vraie référence. Pour moi, c’était la première fois.
124 films de 2, 14, 24 ou 33 minutes, soit 25 heures passées dans le noir total. J’ai fait le tour du monde et vu des Belges, des Français, des Anglais, des Indiens, des Québécois, des Espagnols, des Brésiliens, des Japonais, des Coréens, des Hollandais, des Palestiniens, des Libanais, des Suédois…
J’ai vu des comiques et des gens pas drôles, des situations émouvantes ou complètement glauques, des animations poétiques ou confuses, des gens qui s’aiment et des gens qui se détestent, des super-héros et des "Monsieur Tout-le-monde", la fin du monde et des mondes inconnus, des clips musicaux et des silences très longs, bref, j’en ai vu de toutes les couleurs et de tous les genres.
Le miracle des courts-métrages, c’est ça : c’est court et c’est bon. Rapide, efficace, l’essentiel en quelques minutes. Ça ne marche pas toujours. Parfois, j’ai décroché ou ne suis même pas entrée dans le film. Mais quand ça marche, c’est intense. Emotions en vrac : sourire de voir Grand Corps Malade faire un slam au téléphone (Décroche), se marrer de voir des mafieux belges un peu tocards se hurler dessus (Tu veux faire l’américain ?), délirer avec Björk et ses hallucinations expérimentales (Triumph of the heart) ou être à la place du petit Danny dans Shining et avoir peur… (Do you have the Shine ?).
Il faut faire bref quand on parle courts-métrages, donc un seule question : "Et si les cinémas en diffusaient davantage ?"…
124 films de 2, 14, 24 ou 33 minutes, soit 25 heures passées dans le noir total. J’ai fait le tour du monde et vu des Belges, des Français, des Anglais, des Indiens, des Québécois, des Espagnols, des Brésiliens, des Japonais, des Coréens, des Hollandais, des Palestiniens, des Libanais, des Suédois…
J’ai vu des comiques et des gens pas drôles, des situations émouvantes ou complètement glauques, des animations poétiques ou confuses, des gens qui s’aiment et des gens qui se détestent, des super-héros et des "Monsieur Tout-le-monde", la fin du monde et des mondes inconnus, des clips musicaux et des silences très longs, bref, j’en ai vu de toutes les couleurs et de tous les genres.
Le miracle des courts-métrages, c’est ça : c’est court et c’est bon. Rapide, efficace, l’essentiel en quelques minutes. Ça ne marche pas toujours. Parfois, j’ai décroché ou ne suis même pas entrée dans le film. Mais quand ça marche, c’est intense. Emotions en vrac : sourire de voir Grand Corps Malade faire un slam au téléphone (Décroche), se marrer de voir des mafieux belges un peu tocards se hurler dessus (Tu veux faire l’américain ?), délirer avec Björk et ses hallucinations expérimentales (Triumph of the heart) ou être à la place du petit Danny dans Shining et avoir peur… (Do you have the Shine ?).
Il faut faire bref quand on parle courts-métrages, donc un seule question : "Et si les cinémas en diffusaient davantage ?"…
2 commentaires:
ravie de voir que tu es venu te plonger dans les salles obscures clermontoises pour le festival et que tu as l'air plutôt content de cette immersion totale dans le monde du court ! j'attends tes comments sur les prix (c'est ce soir...)
ciao marie
"Le Mozart des pickpockets" a gagné ! C'est l'un des courts que j'ai préféré ! Et le prix d'interprétation masculine à Jean-Louis Mic pour "Mic Jean-Louis" est plus que mérité ! j'ai vu un des trois courts primés cette année toutes catégories confondues. C'est déjà ça et je ferai mieux l'an prochain !
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