Buzz : Le Festival de Cannes, c’est un peu un jour sans fin tout le temps, pendant dix jours seulement – et heureusement ! Enorme pays de Cocagne du cinéma, où tous les festivaliers donnent l’impression d’être en spring break pendant dix jours, le Festival de Cannes, il ne faut pas en abuser, mais en profiter à fond !
Alors, oui, il y aura toujours les éternels râleurs, les polémiques stériles entre pro et anti-Netflix, les fiestas avec plus ou moins de musique ou de cacahuètes, mais il est une chose indéniable : en se concentrant sur dix jours, le Festival offre à travers ses films, d’où qu’ils viennent, quels que soient leurs modes de production et de distribution, un reflet du monde saisissant. Cette année a été marquée par l’irruption des migrants dans la fiction, et la prise en charge du regard pessimiste et désabusé sur le monde par de jeunes ados de 12-13 ans. Triste époque... Que tirer dons de cette 70e édition ? En mode je me souviens, quelques instantanés :
Films
- Du chaos provoqué par le bug de début de projection de Okja
- Des sifflets au moment de l’apparition du logo Netflix
- De la réapparition de Nicole Kidman, enfin dans un grand rôle
- Des fous rires pendant la projection du dernier Haneke
- Du rire au silence glacé en passant par la gêne pendant le happening de The Square
- Des larmes étouffées à la fin de 120 battements par minute
- De Jean Douchet, souverain et juvénile, devant la projection de son film hommage à Cannes Classics
- De la standing ovation pour Salim Shaheel et son équipe, pour Nothingwood
- De Jacques Rozier, cinéaste rare et précieux, venu présenter Paparazzi à Cannes Classics
- De Raymond Depardon et ses fous quotidiens, Je suis une plaie béante
- Des sifflets écrasés par les applaudissements en fin de You were never really here
- De la gêne involontaire suscitée par le jeu d’Eva Green et Emmanuelle Seigner dans D’après une histoire vraie
- Des applaudissements qui ont accompagné l’apparition du nom de Diane Kruger en fin de In the fade
- Des sifflets au moment de l’apparition du logo Netflix
- De la réapparition de Nicole Kidman, enfin dans un grand rôle
- Des fous rires pendant la projection du dernier Haneke
- Du rire au silence glacé en passant par la gêne pendant le happening de The Square
- Des larmes étouffées à la fin de 120 battements par minute
- De Jean Douchet, souverain et juvénile, devant la projection de son film hommage à Cannes Classics
- De la standing ovation pour Salim Shaheel et son équipe, pour Nothingwood
- De Jacques Rozier, cinéaste rare et précieux, venu présenter Paparazzi à Cannes Classics
- De Raymond Depardon et ses fous quotidiens, Je suis une plaie béante
- Des sifflets écrasés par les applaudissements en fin de You were never really here
- De la gêne involontaire suscitée par le jeu d’Eva Green et Emmanuelle Seigner dans D’après une histoire vraie
- Des applaudissements qui ont accompagné l’apparition du nom de Diane Kruger en fin de In the fade
Ambiance
- D’avoir marché sur les pieds de Michel Ciment
- De l’enthousiasme sans failles de Thierry Frémaux, qui jongle de salle en salle, de Bazin en Lumière, avec la même énergie
- Du gang des escabeaux
- Des portiques électroniques, ceux qu’on a le plus fréquentés de toute la quinzaine
- Du sourire et de la disponibilité de Jessica Chastain
- Des marches, du soleil, du rosé, de la musique permanente
- Des affiches qui recouvrent entièrement le Carlton
- De Jessica Chastain, toujours disponible pour un selfie ou un sourire
- D’Abel Ferrara, badaud parmi les festivaliers, comme un poisson dans l’eau
- Du Wifi de l’espace presse, qui fonctionne, mieux que bien : très bien !
- Du défilé de stars après le photocall des 70 ans, personnalités qui se ramassent à la pelle, de Jerry Schatzberg à Alain Cavalier (mes stars à moi), en passant par Juliette Binoche et Jessica Chastain
- De Pierre Rissient, tel un Sphinx dans son fauteuil roulant entouré d’admirateurs
- De Pierre Lescure, venu comme si de rien n’était visionner les photos presse en jeu lors d’un concours organisé par le festival
- De Bernard Menez, invité surprise des files d’attente
- D’Augustin Trapenard, impatient de rentrer sur la plage de la Quinzaine au moment de sa soirée de clôture
- D’un des frères Bogdanoff, errant seul au milieu de la nuit
- Du Petit Majestic, et sa fabuleuse 3 fromages
- De Carne y arena, malgré des annonces fanfaronnées à tout va, qui restera un dispositif vraiment... virtuel pour les festivaliers non invités à découvrir l’expérience
- De l’enthousiasme sans failles de Thierry Frémaux, qui jongle de salle en salle, de Bazin en Lumière, avec la même énergie
- Du gang des escabeaux
- Des portiques électroniques, ceux qu’on a le plus fréquentés de toute la quinzaine
- Du sourire et de la disponibilité de Jessica Chastain
- Des marches, du soleil, du rosé, de la musique permanente
- Des affiches qui recouvrent entièrement le Carlton
- De Jessica Chastain, toujours disponible pour un selfie ou un sourire
- D’Abel Ferrara, badaud parmi les festivaliers, comme un poisson dans l’eau
- Du Wifi de l’espace presse, qui fonctionne, mieux que bien : très bien !
- Du défilé de stars après le photocall des 70 ans, personnalités qui se ramassent à la pelle, de Jerry Schatzberg à Alain Cavalier (mes stars à moi), en passant par Juliette Binoche et Jessica Chastain
- De Pierre Rissient, tel un Sphinx dans son fauteuil roulant entouré d’admirateurs
- De Pierre Lescure, venu comme si de rien n’était visionner les photos presse en jeu lors d’un concours organisé par le festival
- De Bernard Menez, invité surprise des files d’attente
- D’Augustin Trapenard, impatient de rentrer sur la plage de la Quinzaine au moment de sa soirée de clôture
- D’un des frères Bogdanoff, errant seul au milieu de la nuit
- Du Petit Majestic, et sa fabuleuse 3 fromages
- De Carne y arena, malgré des annonces fanfaronnées à tout va, qui restera un dispositif vraiment... virtuel pour les festivaliers non invités à découvrir l’expérience
Travis Bickle
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