lundi 30 avril 2007
Will Ferrell harcelé par une gamine
dimanche 29 avril 2007
Un corsaire espagnol à l'abordage des Pirates des Caraïbes
Ratatouille : la nouvelle bande-annonce
samedi 28 avril 2007
Le parrain d'Hollywood est mort
vendredi 27 avril 2007
Don Madini, le parrain des comics
jeudi 26 avril 2007
Spider-Man 3, le film qui valait un demi milliard
mercredi 25 avril 2007
Truie, vache et clébard... les enfants des stars d'Hollywood
Nicolas Cage ne sait pas quoi faire avec ses cheveux
Puisque l'on parle de Nicolas Cage à l'occasion de la sortie de Next, j'ai un conseil d'ami à vous donner : passez votre chemin ! Un film mou du genou sans grand intérêt avec un scénario aussi plat que les seins de Jane Birkin et qui suscite soit l'ennui soit l'indifférence voire pire le rire. Moi j'ai baillé souvent, esquissé un sourire de temps en temps tant le ridicule ne tue pas et oublié très vite ce qui c'était passé. Lee Tamahori a même réussi à rendre moche Julianne Moore, c'est dire ! Suivant !
L'Olive
mardi 24 avril 2007
Cannes : chronique superflue à l'usage des festivaliers et des biens pourvus
Sentenza (A Cannes n'ira pas)
dimanche 22 avril 2007
Pirates des Caraïbes 3 toujours pas fini !
samedi 21 avril 2007
Chuck Norris, l'acteur qui l'affiche mâle
- Top Dog : "L'un est fort, l'autre est intelligent" ("One's tough, one's smart), nous annonce l'affiche. Tout un programme En réflechissant deux secondes, on se dit qu'au marketing, soit le mec est extrêmement malin, soit sa femme est partie avec Chuck Norris. Trois mois après la sortie du film, Chuck se rend compte qu'il pourrait potentiellement ne pas être l'intelligent en question sur l'affiche. A l'heure qu'il est, le directeur marketing creuse des puits au Texas...
- Forced Vengeance : les grands auteurs ont toujours un thème qu'ils développent, un truc à eux, une sensibilité particulière, l'envie de défendre une cause. Chuck, son truc à lui, c'est le cassage du titre.
Bonus : un extrait du film dans lequel il rêgle ses comptes avec Bruce Lee (enfin, un sosie). Faut dire que le petit dragon lui avait mis une rouste dans La Fureur du Dragon (Way Of The Dragon). - Silent Rage : Ma préferére. Le summum du marketing. Celui où le personnage ne compte plus, l'histoire ne compte plus ; ce qui compte, c'est ce bon vieux Chuck ( l'homme qui casse les titres) plus un méchant improbable (créé par la science) qui va s'en prendre plein la gueule.
Johnson & Johnson (Top décrypteurs with a silent vengeance)
Pendant qu'on fait dans le Chuck, voici un site HENAURME à découvrir : Chuck Norris Facts. On y trouve un milliard de petites phrases sur le plus célèbre des Texas Rangers. Allez, un petit podium pour vous mettre en appétit :
- Guns don't kill people. Chuck Norris kills people.
- There is no theory of evolution. Just a list of animals Chuck Norris allows to live.
- Chuck Norris does not sleep. He waits.
Invité à un show, Chuck Norris donne même son Top 10 des Chuck Norris Facts.
Sentenza (Norris pas quand je te parle)
vendredi 20 avril 2007
Jean-Pierre Cassel, la classe incarnée
Une décontraction apparente et un sourire éternel qui cachaient un talent énorme. Cassel savait danser, chanter, jouer la comédie. Comme ces acteurs de la grande époque hollywoodienne qu'il admirait tant, Gene Kelly en tête. Tout cela semblait si facile alors qu'on imaginait évidemment le boulot de dingue derrière. Et puis, il avait l'air sympa. Avec les artisses, faut s'méfier, hein, mais là, je ne pense pas me tromper. Je me demande même si je l'ai jamais entendu dire un gros mot dans un film. Peut-être un "chier" ou un "merde" mais ça ne sonnait pas vulgaire dans sa bouche.
Feu follet, French lover...
jeudi 19 avril 2007
Festival de Cannes : demandez le programme !
Début des festivités le 16 mai pour une remise des prix le 27, sous la houlette du président du jury Stephen Frears (The Queen ). A CinéBlogywood, on va vous abreuver d'infos d'autant que nous aurons nos envoyés très spéciaux sur place : entre deux projos à 8h du mat, 15 rendez-vous dans la journée, trois buffets et une fête jusqu'à potron-minet, Marcel Martial et Johnson & Johnson tenteront de tout nous dire sur ce qui se passe sur la Croisette et dans le Palais des Festivals. Pouvez plus reculer les gars, pressure's on you !
Un mot sur la belle affiche du festival : kikoosland explique qu'il s'agit d'une compil de photos prises lors du Festival 2006 par le photographe Alex Majoli, de l’agence Magnum. On y reconnaît Pedro Almodovar, Juliette Binoche, Jane Campion, Souleymane Cissé, Penelope Cruz, Gérard Depardieu, Samuel L. Jackson, Bruce Willis et Wong Kar Wai.
mercredi 18 avril 2007
Harry Ploteur a la croupe en feu !
Comme par ailleurs, je ne ne souhaite pas vous importuner davantage avec des phrases que vous ne lirez que pour accéder plus vite à Enculons-nous dans les bois ou Un taxi pour qu'j'te broutte, je vous donne directement le lien vers cette liste, ici. Enjoy !
Sentenza (fourre- moi là)
Shia LaBeouf nous en met plein les yeux !
Eh bien y’a un petit bout de bonhomme là-dedans avec une binette qui fait risette. Le genre de garçon qui nous file le sourire avant même qu’il ait parlé.
Shia Labeouf est né le 11 juin 1986 à Los Angeles, Californie. Fils unique d'un clown de cirque Cajun, Jeffrey LaBeouf, et de Shayna LaBeouf.
Shia fait comme beaucoup d’enfants et monte des impros autour de son voisinage. C’est en voyant un de ses copains d’école jouer dans Dr. Quinn, Femme Médecin, qu’il se décide a devenir comédien. Il consulte les yellow pages pour trouver un agent. En imitant la voix d'un adulte, il affirme qu’il connaît un excellent comédien ado (lui même) au potentiel insoupçonné et qui pourrait devenir par la suite un acteur de renom.
Un fois le rendez vous pris à l'agence, il signe !! Il devient alors Louis Stevens dans la série La Guerre des Stevens (Even Stevens) pour lequel il reçoit un Emmy.
Shia partout !
Après un épisode dans Urgences, il décroche des rôles au cinoche : La morsure du lézard (Andrew Davis au manettes et Sigourney Weaver dans le acting qui prend un vrai bide en France : 8 300 entrées !!!), il apparaît dans Charlie’s angels 2, puis tiens le premier rôle dans Un parcours de légende (de Bill Paxton direct to vidéo…) et enfin un second rôle dans Constantine. Seulement voilà, une carrière d’acteur ne se fait pas du jour au lendemain et après 2 années à ramer un peu (quelques inédits en France dont le très bon A guide to recognising your saints), il enchaîne coup sur coup Disturbia (DJ Caruso – sortie France octobre 2007 sous le titre Paranoiak…) qui vient de taper la première place du box office US ce week-end. On le verra ensuite dans Transformers de Michael Bay et il vient de signer pour être le fils d’Indiana Jones dans le tome 4 !!!
Malgré le nom d’acteur le plus imprononçable du business, le petit est en train de montrer que le bonheur, c’est simple comme un coup de fil. Alors oui, Shia bien merci
Marcel Martial (jaloux)
lundi 16 avril 2007
Bana boum dans ton Hulk !!!
On va voter Vert !!!
Pour une surprise, c’est une surprise et on peut imaginer que certains fans sont déjà plus verts que le super-héros lui-même. Mais souvenez-vous : lorsque que Sam Raimi annonça que Tobey Maguire serait Spider-Man, le net se mis a trembler et tout le monde donna son avis comme s'il s’agissait de la composition de l’équipe de France pour le match contre la Suisse au premier tour du Mondial 2006.
Soyons sérieux et prenons le temps de digérer cette information : Ed Norton est un acteur formidable : American History X, Fight Club, l’Illusionniste et même non crédité au générique, avec la lèpre et un pot de chambre design sur la tête (Kingdom of Heaven). Il est bon, un point c’est tout.
Donc si l’acteur-titre est bon le film part sur des bonnes bases. Attendons la suite du casting avant de bruler Bruce Banner. Eric Bana a d’autres chemins à explorer : on est pas inquiet. Norton comme un coup de tonnerre sur ce coup-là .
Marcel Martial (Iron Male)
dimanche 15 avril 2007
Titanic… tout le monde
On est tous d’accord pour reconnaître que certains films ne tiennent qu’à leur fin. Ainsi celui qui a trouvé que Bruce Willis était mort au début du Sixième sens (oui, Monsieur, c’est mon cas), s’est lentement et longuement ennuyé durant les 2h12 qui ont suivi. Aussi dans cette chronique je vous propose de gagner un peu de temps (donc de l’argent) en vous résumant quelques fins de films.
Gagnons du temps en perdant des amis
Ainsi vous pourrez faire la trompette dans les diners mondains ou lorsque la conversation arrivera sur "Je vais bien, ne t’en fais pas", vous pourrez toujours dire, d’un air détaché : "J’étais sur que c’était le père (le très bon Kad Mourad) qui écrivait les lettres et qu’en fait, le fils était mort". Ca, c’est fait. En revanche je ne garantie pas que vous soyez forcément réinvité. Si on vous menace, n’hésitez pas a dire que la mort de Léonardo DiCaprio dans Blood Diamond vous a ému, bien plus que quand il se fait abattre comme un lapin dans l’ascenseur par Matt Damon à la fin des Infiltrés. Pour rappel, Matt se fera désouder 4 minutes plus tard par Mark "fuck" Wahlberg.
Vous pouvez encore quitter cet article avant l’iceberg
Là, normalement, vous commencer a avoir divisé le nombre de vos amis par 5. Donc, il ne vous en reste plus que 2 à qui vous allez pouvoir confier que dans Indigènes seul ou que dans Alphadog : oui le petit se fait tuer a la fin (même si la on s’en doutait vraiment très fort) et enfin que Jim Carrey est l’auteur du livre qui le rend fou dans Le nombre 23.
Petit rappel : Kevin Spacey est bien Kayser Sauze dans Usual Suspects (on aurait presque finit par l’oublier), la femme de The Crying game est un homme ; Harrison Ford est coupable dans Présumé innocent » ; bien sûr que Jonathan Rhys Meyer tue Scarlet Johansson dans Match Point et il s’en sort (oui, c’est le Meyer !) ; Jake Gyllenhaal meurt tabassé dans Le secret de Brokeback Mountain, non "le village" n’est pas au 15e siècle, mais de l’autre coté du périph au 20e siècle.
Bon sang , mais je tiens un sujet pour une autre chronique…
Marcel Martial (parfois infernal )
Ils ont divisé Grindhouse !
Obscures raisons
samedi 14 avril 2007
Transformers : Legos très techniques
Tu as adoré assembler tes legos pour faire des vaisseaux spatiaux, tu t’es extasié devant les feux d’artifice du 14 juillet, tu as aimé les grosses cylindrées qui font du bruit... J’espère que tu as conservé ton âme d’enfant car cet été tu va être servi : les Transformers arrivent. Ils sont beaux, ils sont forts, ils sont bien huilés. Et apparemment ils vous nous en foutre plein la vue.
Michael Bay aux commandes (on lui doit de merveilleux moments à Alcatraz-Rock et de moins bons avec des mauvais garçons, Bad Boys 2), Steven Spielberg au tiroir caisse sans fond (il a les moyens de nous faire bander) : on peut vraisemblablement s'attendre à avoir mal aux yeux, et pas à la tête. En tout les cas, la bande-annonce est plutôt alléchante : la preuve. Rendez-vous dans les salles le 25 juillet !
Sentenza (L’eau, il aime pas ça)
vendredi 13 avril 2007
Spider-Man 2.1 : englué dans la toile des éditeurs
jeudi 12 avril 2007
Un Dino et une Momie tout neufs !
Dino de Laurentiis a conclu "le" deal sur les droits de Barbarella. Il a même mis les scénaristes de Casino Royale dessus…On ne sait pas qui sera Babarella 2000, mais sachez bien que Dino nous tiendra au courant sur CinéBlogywood. A mon humble avis, c’est le casting où il faudra aller avec un slip en zinc.
Sinon La Momie 3 est en prod pour une sortie US en juillet 2008. Brendan Fraser en sera mais pas Rachel Weisz (c’est plus assez bien pour elle…). A noter que c’est Jet Li qui fera le méchant. C’est Rob Cohen qui réalise (XxX, Furtif….aie…)
Academy Award Winners and losers
Hommage : Denzel Washington et Forrest Withaker ensemble, ça s’appelle : The Great Debaters et c’est Denzel qui réalise. Non, ce n’est pas un remake de Oscar… arf arf arf.
Holala : le casting de Indiana Jones 4 n’attend plus que Sean Connery. Harrison Ford sera entouré de Cate Blanchett, Ray Winstone et le jeune Shia LaBeouf, qui est aussi a l’affiche du Transformers de Michael Bay… ça va pour lui, merci.
Omelette ! ça, c’est plutôt tiède le Grindhouse de Tarantino et Rodriguez a pris une petite tape sur les doigts ce W-E avec une maigre place de 4e au box-office et "seulement" 11 millions de dollars. Les 2 compères se rappelleront qu’on ne sort pas un film d’ultra violence pour le WE de Pâques sans casser des œufs… Sortie France le 6 juin. On en reparle.
mardi 10 avril 2007
Morning Fall : le court qui tombe à pic
Sur le web : Une fois n'est pas coutume, le petit coup de coeur que j'aimerais vous faire partager est un court-métrage vraiment bien foutu.
Là où Oliver Stone a besoin de 2h10, de Nicolas Cage et de millions de dollars pour exorciser (mal) les démons du 11 septembre, un étudiant américain en cinéma, Edward McGinty, n'a besoin que de quelques minutes...
Cliquez ici pour vous en rendre compte.
Bon visionnage !
Sentenza (court mais bon)
lundi 9 avril 2007
Star attitude : les petites phrases du "moi"...
. La plus poétique
"J'ai reçu plein de courriers à la sortie du film. Les gens m'écrivaient des déclarations, pas forcément d'amour mais d'existence".
(Romain Duris à propos du Péril Jeune : Rien à dire, c'est beau, c'est simple, c'est vrai. On ferme les yeux et on médite)
. La plus incohérente
"Je ne me reconnais pas forcément dans les films générationnels de Cédric [Klapisch], ce qui ne m'empêche pas de les aimer. J'ai toujours été un peu à part, en classe ou dans les cours de théâtre".
(Juliette Binoche : Rapport entre les films de Klapisch et son sentiment d'originalité ? On s'interroge et on préconise une bonne thérapie)
. La plus sensée :
"Le sexe n'est pas un danger et peut servir d'exutoire. Si les gens ne baisaient pas, ils se taperaient dessus. Le porno a une véritable utilité sociale".
(Gaspard Noé : C.Q.F.D)
. La plus mystique :
"On le tenait pour un intellectuel, il n'était qu'un homme du ciel et de la terre. Comme nous tous".
(Michel Piccoli à propos de Luis Bunuel : ben... Amen.)
. La plus rhétorique :
"J'aime quand les choses ne sont pas démonstratives, qu'il n'y a pas de pléonasme".
(Sandrine Kiberlain : oui... Mais on fait comment si on ne distingue pas la synegdoque de la métonymie ?)
. La plus motivée :
"J'ai pensé qu'il était temps, plutôt que d'être un réalisateur qui se masturbe intellectuellement, de me masturber pour de bon à l'écran".
(Steven Soderbergh défendant Schizopolis dans le Première d'avril 1997)
. La plus lucide :
"Bruce sait qu'on ne peut pas tourner ce genre de film en se prenant trop au sérieux. Sinon on devient Steven Seagal".
(Justin Long, partenaire de Willis dans Die Hard 4 : ... Die Hard... Depuis quand Bruce Willis joue dans des films allemands ?)
. La plus mégalo :
"D'abord, je ne me qualifierais pas du tout de girafe. Cette comparaison, ras le bol ! Je me décrirais passionnée, actrice, musicienne, vivante, mère, inquiète, drôle (beaucoup plus qu'on ne l'imagine), fragile, dure à la douleur, honnête. Mes défauts ? Obsessionnelle, impatiente, trop exigeante ; puis, revers de mes éventuelles qualités, inquiète et aussi... actrice".
(Sandrine Kiberlain toujours : oui, enfin, "girafe", c'était plus court non ?)
Black-Mamba (qui ne se moque pas...)
dimanche 8 avril 2007
Wolf Creek : Le jour du Saigneur
Dans Wolf Creek, trois jeunes randonneurs décident de faire du trekking dans le désert. Pourquoi pas. Moi, perso, c’est non. Ils décident de visiter le cratère Wolf Creek causé par une météorite "Et là vous me dites : il reste un cratère !". Bref, là dessus, la voiture tombe en panne, et les autochtones qui vont les aider ne sont pas végétariens.
Sur un scénar autant visité que Brigite Lahaie, un jeune réal australien nous pond le survival le plus effrayant des 10 dernières années. "Un des meilleurs film d’horreur des 25 dernières années", nous dit Quentin Tarantino (merde, c’est quand même pas rien !).
Et le fait est que, après une première demi heure digne d’un bon épisode de C’est beau la vie, nous voilà en train de plonger dans un véritable enfer d’angoisse ultra puissante parce que hyper réelle.
Un film d’horreur selon…le Dogme !
Greg McLean explique qu’il a voulu réaliser un film effrayant unique en son genre avec Wolf Creek et qu’il s’est inspiré du Dogme : "C’était mon intention de faire de Wolf Creek un film inoubliable, choquant et vraiment effrayant. Et qui soit aussi nettement australien. Le style général du film m’a été fortement inspiré par l’intrusion du Dogme dans le cinéma européen. Par l‘arrivée des cinéastes danois menés par Lars Von Trier, à l’origine d’une révolution numérique. Ces metteurs en scène se libéraient des du fardeau des films à gros budget : décors naturels, éclairage et bruitage sonore réduits, tournage en vidéo numérique et concentration de toute leur énergie sur des récits novateurs et le jeu des acteurs".
En résumé , ce n’est pas l’arnaque Blair Witch mais bel et bien un vrai film de terreur qui vous cloue au fauteuil et vous fait rallumer la lumière du salon pour vérifier que tout est OK derrière le canapé .
Vous l’aurez compris WC n’est pas un film de chiotte !
Mon conseil : achetez-le et faites vous votre avis ! .
Marcel Martial (parfois Austral )
jeudi 5 avril 2007
L’aile (lyophilisée) ou la cuisse (cellophanée) ?
J’aurais pu mais je n’aurais pas dû, parce que le film est une vraie réussite. Pas de message, juste des images. Et des images particulièrement bien choisies. On est un peu abasourdi par ce qu’on y voit (de l’holocauste ovin à la castration porcine), on est stupéfait par la quasi-absence d’humanité dans la mécanisation à outrance des industries agro-alimentaires (on est pas non plus chez le premier péquenot du coin, plutôt chez Vivagel), on est subjugué par le ballet incessant et hypnotique des machines imperturbables.
Mon conseil : tapez-vous un bon Mac Do avant de voir le film, ce sera le dernier !
PS : Le titre de ce "documentaire" fait très certainement référence à un film de King Vidor, réalisé en 1934, dans lequel des victimes de la grande crise se regroupaient en communautés agricoles pour échapper au chômage. 70 ans après, on se dit qu’il va falloir trouver une autre solution…
10.000 dans le bordel !
mardi 3 avril 2007
Star Wars : l'anniversaire qui vire au drame
Sur le web : Une soirée d'anniversaire à Santa Barabara. Leia fête ses 22 ans. On boît, on danse, on déconne.
Et puis deux types commencent à se prendre le chou, grave. Au point de sortir les armes. C'est là que tout dégénère. Quelqu'un a filmé cette birthday party qui finit très mal.
Un banal fait-divers, pensez-vous ? Il n'y a jamais rien de banal quand deux jedis en viennent aux sabres. Regardez donc ce petit film de Star Wars fan très bien foutu.
Anderton
lundi 2 avril 2007
As-tu enculé ma femme ?
Halte là donc, jeune pré-pubère ! Ne viens pas souiller tes chastes oreilles avec ces multiples enculades orales et préfères-y la version française, moins cool mais plus édulcorée. Je déconne : tu écoutes Ta meuf la caille de Faf la rage et tu ne comprends pas les paroles, par conséquent tu ne peux saisir toutes les nuances dans l’utilisation du fuck.
Tu croyais que le sens d’opéra était le même dans Grey’s Anatomy et dans Le Lac des cygnes ? Il est temps de grandir. Reste à signaler que l’équivalent de fuck n’existe pas dans la langue française. Excepté pour les marseillais qui utilisent le terme "enculé" (m’est avis qu’ils ne sont pas allés le chercher bien loin).
Maintenant que tu as lu ce post et que tu sais que tous les fuck ne signifient pas forcément démontage de boîte de Pandore, à la question : "As-tu enculé ma femme ?", tu pourras répondre, à l’instar du frère de La Motta dans Raging Bull, "Did you fuck your mother ?" ou "Where do you get you’ve balls big enough to ask me that ?" (Mais il faut en avoir davantage).
Sentenza (Pas ça !)