mardi 5 février 2008

Cloverfield : conseils et tuyaux avant la séance

En Salles : Ce post s'adresse à ceux d'entre vous qui n'ont pas eu la chance de découvrir Cloverfield en avant-première, lors d'une projo presse ou à l'étranger (le film est déjà sorti aux States, au Royaume-Uni, en Espagne...).
Voici quelques petits conseils et tuyaux pour bien profiter du spectacle. Et promis, je ne vais pas vous balancer de spoilers qui vont ruiner les effets de surprises. On y va !
1) Avant la séance : si vous avez facilement le mal de mer, si plus de 20 minutes en voiture vous donnent la nausée, si les montagnes russes et autres rollers coasters vous font régurgiter votre repas, alors avant d'aller voir Cloverfield, prenez une pilule contre le mal des transports. C'est un fait que certaines personnes ont été malades pendant le film, tant la caméra bouge beaucoup (lire : Quand Cloverfield donne la nausée).
2) Séquence d'ouverture : le film débute par une mire sur laquelle vous pouvez apercevoir en bas, à droite de l'écran... le logo de Dharma (Lost). Clin d'oeil (J.J. Abrams est producteur de la série et du film) ou les deux récits sont-ils liés ?
3) Vers la fin du film, Rob et Beth se trouvent dans une grande roue à Coney Island. Si vous regardez attentivement la mer derrière eux, vous verrez quelque chose tomber dans l'eau.
4) Après le générique de fin, ne quittez pas votre fauteuil, vous entendrez un message radio que l'on a du mal à comprendre. Apparemment, en passant la bande à l'envers, on entend la phrase [attention spoiler] : "It's still alive". Ecoutez-la ici.
Conseils pécho sur CloverfieldClues.com et son entendu grâce à The Director's Cup (Salve Paolo!)
Anderton

5 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est tellement facile d'exciter les spectateurs maintenant... "Oh mon Dieu, n'y a-t-il pas marqué "fin du Monde pour 2012" sur le fronton de cette Eglise, dans le plan 327 ?" Je hais Abrams, je le vomis volontiers; il personnifie selon moi la dégénérescence télévisuelle du cinéma. Mais il a tout compris à la manière d'agicher le chalan, et utilise sans concession la recette.

Dharma en intro ? Je regarde Lost, j'apprécie même, mais je n'ai rien à f***** que cette série se retrouve dans l'un des films que je regarde. Quel est le rapport ? A la limite, il en aurait donné un immédiatement, OK. Mais non, il joue une nouvelle fois sa péripatéticienne et agiche son client.

Je m'en retourne voir des films qui ont quelque chose d'intéressant à dire (et ne venez pas me parler de "véritable film post-11 septembre"; ca reviendrait à dire que les islamistes sont personnifiés par un gros méchant monstre insaisissable, et il n'y a rien de plus ridicule et de plus caricatural que ça).

Bonne nuit.

BUDOKAN a dit…

Hola, parece que este film no pasa desapercibido en ninguna parte del mundo. Ya quiero verlo. Saludos!

Anonyme a dit…

Oh là, Ralph est plus remonté qu'une piste de ski au mois de février. Chacun ses dégoûts. Je respecte les tiens, McReiss. Cloverfield n'est pas le film du siècle mais ce n'est pas non plus une daube. Qu'on aime ou déteste tout le marketing viral fait autour du film, force est de constater que jamais autant de comm' de ce type n'avait été faite pour un film de cette envergure. Y a -t-il un lien entre Cloverfield et Lost ? je ne sais pas, on verra. Quant à comparer le monstre aux Islamistes, tu as dû lire ça dans National Hebdo mais certainement pas sur CinéBlogywood.

Anonyme a dit…

Non, je ne fais que reprendre un article lu il y a quelques semaines prétextant que Cloverfield était "le véritable film post-11 septembre" (comme on le dit, en somme, à chaque film catastrophe désormais).

En outre, comme vous l'aurez compris, je n'aime pas Abrams (un cinéphile cynique selon moi), donc je ne prétends pas un seul moment être objectif à propos de ce film.

Anonyme a dit…

J'ai adoré ce film ! J'avais très peur que le buzz s'essoufle lamentablement à la vision du film, mais non ! Bon, ça reste du film catastrophe, donc ça pète fort, c'est parfois bien lourd, mais qu'est-ce que c'est bon !! Et pour le coup, ça se passe à Manhattan, et on voit une tour se péter la gueule, mais pas la moindre trace de discours lourdingue sur le 11 septembre (ouf)