Cela fait un p'tit moment que je mûris l'idée de faire chroniquer un film X par une femme. Et si possible, une femme qui n'a pas l'habitude d'en voir.
J'entends déjà les "gros pervers !" claquer à mes oreilles. Je ne nie pas. Mais ce qui m'intéresse dans cette expérience quasi scientifique, c'est de découvrir les réactions d'une innocente (ou presque) devant un genre cinématographique presque exclusivement dédié aux hommes.
Après avoir travaillé Black Mamba au corps (pas de dérapage !) pendant un an sans succès, notre nouvelle rédactrice, Marge S, a relevé le défi avec une candeur qui l'honore.
Pour corser l'affaire, j'ai demandé au spécialiste ès-boulard de Cineblogywood.com, Marcel Martial, de mater le même film - mais dans une pièce différente, on n'est jamais trop prudent.
Voici donc la chronique croisée de L'Honneur des Mariani - j'en profite pour remercier Marc Dorcel d'avoir joué le jeu en adressant une galette à chacun des rédacteurs. Premier à tirer (pas de dérapage, j'ai dit) : Marcel Martial. Découvrez la 2e partie de ce post, avec le billet de Marge S. Enjoy !
Anderton
En DVD : Aaahhhh, un nouveau DVD Dorcel vient d’arriver à la rédac ! Comme d’hab, on fait le concours de celui qui a la plus longue, et donc je gagne (La greffe de coup de poulet d’Anderton n’a pas prise*) ! Au programme du mois : L’Honneur des Mariani, ou quand le boulard se met au vert avec cette histoire bucolique s’il en est d’un riche propriétaire terrien, dont la réputation va être bafoué par la faute d’une fille chaude comme une baraque à frites !
L’honneur des Mariani : Je suis ta paire !!!
Elle a vraiment le feu aux orifices la petite Clara Mariani, fille du plus grand propriétaire terrien de la région. La nuit venue, alors que papa ronfle, elle file sur son vélo rejoindre deux coquins qui lui ont organisé une dégustation de chibres régionaux. Un matin, la famille découvre, fixées sur la porte de la maison, deux photos de la jeune fille en pleine action, accompagnées d’un commentaire rageur, sobre et très pointu : "Ta fille est une pute !".
Dès lors, l’honneur des Mariani est engagé. Comment faire taire les ragots ? Le mieux ne serait-il pas de lui faire épouser un brave garçon innocent ? C’est sur ce scénario digne des meilleures séries de l’été des grandes chaînes nationales, que nous allons voir se succéder quelques unes des actrices les plus réputées du moment : Tara White, Jenny Baby et la désormais retraitée (retirée ?!!) Yasmine. Autant le dire tout de suite, elles ne déçoivent pas : pour chacune, le coup du chapeau - un coup dans le chat, un coup dans le pot, même si pour Yasmine ils doivent s’y mettre à deux.
Au-delà de ces incontournables scènes qui différence le film hard de la production de 20h30, ce X correct sans plus, nous permet de revoir l’insatiable, l’ineffable, l’inégalable Roberto Malone, sorte de Ron Jeremy Français : "petit, trapu, gros et poilu", comme le définit Wikipédia, il mettra a l’aise tous les angoissés du joufflu : il a un sexe de taille réduite ! Bref, il se paie sa scène comme on va au bureau : tranquille, efficace et sans prétentions !
Marcel Martial (Roberto, mio palmo)
* précision d'Anderton : Il s'agissait d'un cou d'autruche !
J'entends déjà les "gros pervers !" claquer à mes oreilles. Je ne nie pas. Mais ce qui m'intéresse dans cette expérience quasi scientifique, c'est de découvrir les réactions d'une innocente (ou presque) devant un genre cinématographique presque exclusivement dédié aux hommes.
Après avoir travaillé Black Mamba au corps (pas de dérapage !) pendant un an sans succès, notre nouvelle rédactrice, Marge S, a relevé le défi avec une candeur qui l'honore.
Pour corser l'affaire, j'ai demandé au spécialiste ès-boulard de Cineblogywood.com, Marcel Martial, de mater le même film - mais dans une pièce différente, on n'est jamais trop prudent.
Voici donc la chronique croisée de L'Honneur des Mariani - j'en profite pour remercier Marc Dorcel d'avoir joué le jeu en adressant une galette à chacun des rédacteurs. Premier à tirer (pas de dérapage, j'ai dit) : Marcel Martial. Découvrez la 2e partie de ce post, avec le billet de Marge S. Enjoy !
Anderton
En DVD : Aaahhhh, un nouveau DVD Dorcel vient d’arriver à la rédac ! Comme d’hab, on fait le concours de celui qui a la plus longue, et donc je gagne (La greffe de coup de poulet d’Anderton n’a pas prise*) ! Au programme du mois : L’Honneur des Mariani, ou quand le boulard se met au vert avec cette histoire bucolique s’il en est d’un riche propriétaire terrien, dont la réputation va être bafoué par la faute d’une fille chaude comme une baraque à frites !
L’honneur des Mariani : Je suis ta paire !!!
Elle a vraiment le feu aux orifices la petite Clara Mariani, fille du plus grand propriétaire terrien de la région. La nuit venue, alors que papa ronfle, elle file sur son vélo rejoindre deux coquins qui lui ont organisé une dégustation de chibres régionaux. Un matin, la famille découvre, fixées sur la porte de la maison, deux photos de la jeune fille en pleine action, accompagnées d’un commentaire rageur, sobre et très pointu : "Ta fille est une pute !".
Dès lors, l’honneur des Mariani est engagé. Comment faire taire les ragots ? Le mieux ne serait-il pas de lui faire épouser un brave garçon innocent ? C’est sur ce scénario digne des meilleures séries de l’été des grandes chaînes nationales, que nous allons voir se succéder quelques unes des actrices les plus réputées du moment : Tara White, Jenny Baby et la désormais retraitée (retirée ?!!) Yasmine. Autant le dire tout de suite, elles ne déçoivent pas : pour chacune, le coup du chapeau - un coup dans le chat, un coup dans le pot, même si pour Yasmine ils doivent s’y mettre à deux.
Au-delà de ces incontournables scènes qui différence le film hard de la production de 20h30, ce X correct sans plus, nous permet de revoir l’insatiable, l’ineffable, l’inégalable Roberto Malone, sorte de Ron Jeremy Français : "petit, trapu, gros et poilu", comme le définit Wikipédia, il mettra a l’aise tous les angoissés du joufflu : il a un sexe de taille réduite ! Bref, il se paie sa scène comme on va au bureau : tranquille, efficace et sans prétentions !
Marcel Martial (Roberto, mio palmo)
* précision d'Anderton : Il s'agissait d'un cou d'autruche !
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