En salles : En lisant la critique de Sentenza, je me suis dit : "Marcel, dis quelque chose à Sentenza, avec qui tu faisais des chats bites il n’y pas si longtemps, mais qui a perdu son humour potache".
Car pour moi, la bonne surprise de la rentrée est une comédie sévèrement burnée, diablement irrévérencieuse et foutrement orgasmique pour les zygomatiques. Car oui, L'Abominable vérité est drôle, très drôle avec une mention spéciale pour sa première heure.
Reçu sexe sur sexe !
La comédie romantique US a de beaux jours devant elle car elle sait non seulement comment se renouveler tout en gardant ses vieilles recettes. Ici, la relation macho man vs productrice frigide marche à plein tube... cathodique, puisque l’action se passe dans les studios d’une chaîne locale de télévision. Et les vérités sexuelles balancés par un Gerard Butler gouailleur à souhait font plaisir à entendre car enfin débarrassées des poncifs puritanistes yankees habituels.
Catherine Heigl (de joie ! vue dans En Cloque Mode d'emploi aka Knocked Up) joue quant à elle à merveille la psychorigide bourrée de principes, en allant loin dans la démonstration (cf les scènes de la fellation dans les tribunes du stade de baseball ou la scène du restaurant avec le slip vibrant contrôlée par télécommande !). Rajoutons une galerie de seconds rôles drôlissimes avec une mention spéciale pour le couple de présentateurs TV (façon M et Mme Dan Rather !), le tout sur une mise en scène rythmée par le bon Robert Luketic déjà auteur du très drôle La revanche d’un blonde et du moyen 21.
Oui, L'Abominable vérité perd un peu de son côté outrageux dans sa deuxième partie, lorsque (à la surprise générale… on avait rien vu venir… mais alors rien !) les deux opposés s’attirent, mais n’est-ce pas ce que tout le monde attend "by popular demand" ? Alors, je n’ai pas honte de vous avouer L'Abominable vérité : j’ai aimé ça !
Marcel Martial (Abominable hommes des sièges… de cinéma !)
Car pour moi, la bonne surprise de la rentrée est une comédie sévèrement burnée, diablement irrévérencieuse et foutrement orgasmique pour les zygomatiques. Car oui, L'Abominable vérité est drôle, très drôle avec une mention spéciale pour sa première heure.
Reçu sexe sur sexe !
La comédie romantique US a de beaux jours devant elle car elle sait non seulement comment se renouveler tout en gardant ses vieilles recettes. Ici, la relation macho man vs productrice frigide marche à plein tube... cathodique, puisque l’action se passe dans les studios d’une chaîne locale de télévision. Et les vérités sexuelles balancés par un Gerard Butler gouailleur à souhait font plaisir à entendre car enfin débarrassées des poncifs puritanistes yankees habituels.
Catherine Heigl (de joie ! vue dans En Cloque Mode d'emploi aka Knocked Up) joue quant à elle à merveille la psychorigide bourrée de principes, en allant loin dans la démonstration (cf les scènes de la fellation dans les tribunes du stade de baseball ou la scène du restaurant avec le slip vibrant contrôlée par télécommande !). Rajoutons une galerie de seconds rôles drôlissimes avec une mention spéciale pour le couple de présentateurs TV (façon M et Mme Dan Rather !), le tout sur une mise en scène rythmée par le bon Robert Luketic déjà auteur du très drôle La revanche d’un blonde et du moyen 21.
Oui, L'Abominable vérité perd un peu de son côté outrageux dans sa deuxième partie, lorsque (à la surprise générale… on avait rien vu venir… mais alors rien !) les deux opposés s’attirent, mais n’est-ce pas ce que tout le monde attend "by popular demand" ? Alors, je n’ai pas honte de vous avouer L'Abominable vérité : j’ai aimé ça !
Marcel Martial (Abominable hommes des sièges… de cinéma !)
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