vendredi 25 janvier 2008

Terry Gilliam veut Johnny Depp pour remplacer Heath Ledger

Buzz - En Prod - Artistes : Au delà du drame humain, la mort de Heath Ledger est une catastrophe artistique. Pour Terry Gilliam, notamment, une fois de plus maudit, après l'arrêt de son Don Quichote (entre beaucoup d'autres projets avortés ou foirés) en plein tournage.
Car l'ex-Monty Python était à six semaines de finir le tournage de The Imaginarium of Doctor Parnassus, avec Heath Ledger dans un des rôles principaux. Le cinéaste a demandé à Johnny Depp de finir les scènes restantes à la place du comédien australien décédé.
Selon une source citée par Monsters & Critics, qui relate l'affaire : "Il y a un moment dans le film où Heath tombe dans un miroir magique. Il pourrait se trnasformer en un autre personnage après cela et c'est là qu'interviendrait Johnny. C'est un film bizarre et fantastique sur le voyage dans le temps alors le personnage interprété par Heath pourrait facilement changer d'apparence. Ce serait un moment poignant. Johnny ne travaille pas en ce moment donc tout le monde prie pour qu'il le fasse".
Coup de gueule et autopsie
L'idée est peut-être très cynique et intéressée mais c'est vrai que cela pourrait être intéressant d'un point de vue cinématographique. Le site internet souligne par ailleurs que trois jours avant sa mort, Heath, qui était réputé pour être perfectionniste, avait piqué une grosse gueulante sur le plateau du film, à Londres. Motif : les producteurs ne voulaient pas le laisser retourner une scène dont il n'était pas satisfait.
Quant à l'enquête sur son décès, sans faire de jeu de mo(r)t, elle est au point mort. Enfin, l'autopsie n'a rien donné. Il faudra attendre une dizaine de jours pour savoir si oui ou non Ledger a succombé à une overdose de médicaments.
Info pécho via The Movie Blog / Photo pécho sur INFDaily
Anderton

1 commentaire:

Anonyme a dit…

C'est une excellente idée. Et évidemment que c'est un choix "intéressé" ! On ne peut pas laisser sur le carreau toute une équipe et toute une production, même dans les cas les plus tragiques.