jeudi 24 janvier 2008

Oscars 2008 : a French taste !

Buzz : Voilà c’est tombé (ouais, enfin, c'était y a pas si longtemps) : Marion Cotillard est nommée comme meilleure actrice pour La Môme (3 nominations), et Persépolis sera dans la catégorie « meilleur film d’animation ».
Pour Marion, c’est jouable (très bonne côte devant Julie Christie pour Loin d’Elle, titre que l’on espère prémonitoire).
Pour Persépolis, les concurrents seront Ratatouille et Les Rois de la Glisse. Autant dire que si les Oscars se donnent sur le fond, le film de Marjane Sastrapi a une petite chance, si c’est sur la forme, ça fera toujours un aller retour à L.A. offert par la maison de prod !
Kesskonéforts !
Au niveau des meilleurs films, on l’avait annoncé : No Country for Old Men tient la corde (8 nominations) devant There Will Be Blood (8), Reviens-moi (7), Michael Clayton (7) et l’incroyable Juno (4) dont on vous dira quelques lignes très prochainement.
Pour les réals, on prend les mêmes, on retire Joe Wright (Reviens-moi), ça fait toujours plaisir... et on rajoute Julian Schnabel pour Le Scaphandre et le papillon.
Pour les acteurs, à noter la très belle nomination de Viggo Motensen pour Les Promesses de l’Ombre, mais Daniel Day Lewis (There Will Be Blood) semble intouchable. Reste George Clooney, Johnny Depp (Sweeney Todd) et Tommy Lee Jones (Dans la Vallée d’Elah) : que du lourd !!
Bref, le 25 février, malgré le strass et le stress, ça va bastonner à la barbare dans le Kodak Theater, où faute de scénaristes, on s’attend à une cérémonie moins longue et surtout moins drôle que par le passé. C’est sans doute pourquoi, 2 jours après les Césars présentés par Antoine de Caunes, les oscars le seront par Jon Stewart, présentateur d’un show quotidien sur la drôlissime chaîne de TV Comedy Central. On se souvient du petit montage hilarant sur les westerns réalisé par l'équipe de Stewart aux Oscars 2006.
Marcel Martial (Oscarisible)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Le film gnian gnian démocrate de base qui n'a rien à faire dans la compétition est Michael Clayton. Le grand oublié, Into the Wild.