En salles. La séquence qui précède le générique est délicieusement éprouvante: un petit bijou de réalisation grâce auquel vous passez du "même pas peur" à "je sue d'la raie" en deux minutes. Le reste du film est du même acabit: vous n'aurez pas le temps de sécher.
On comprend pourquoi Danny Boyle, réalisateur du premier opus et producteur du second, a fait confiance à Juan Carlos Fresnadillo (déjà responsable d'Intacto). Cet homme est doué, tant dans la direction d'acteurs que dans les choix de mise en scène. Tout est parfait: l'éclairage oppressant, la musique entêtante, l'ambiance délétère. Et pour ne rien gâcher, cette virtuosité est mise au service d'un scénar qui ne se contente pas de faire l'inventaire des organes arrachables avec les dents.
Pas de répit
28 Semaines Plus Tard (dont la bande-annonce est ici) n'est pas la suite de 28 Jours Plus Tard. Le point de départ est identique, l'expansion d'un virus qui fait baver toute l'Angleterre, mais l'histoire reprend lorsque l'épidémie est enfin éradiquée. La zone sécurisée que les américains ont créée au coeur de Londres (décidément, la capitale des zombies) n'est pas sans rappeler la ville bunker de Land of the Dead mais la comparaison s'arrête là : ici, il y a des snipers sur les toits prêts à dégommer quiconque va chez le dentiste avec les gencives qui saignent.
Pas de répit
28 Semaines Plus Tard (dont la bande-annonce est ici) n'est pas la suite de 28 Jours Plus Tard. Le point de départ est identique, l'expansion d'un virus qui fait baver toute l'Angleterre, mais l'histoire reprend lorsque l'épidémie est enfin éradiquée. La zone sécurisée que les américains ont créée au coeur de Londres (décidément, la capitale des zombies) n'est pas sans rappeler la ville bunker de Land of the Dead mais la comparaison s'arrête là : ici, il y a des snipers sur les toits prêts à dégommer quiconque va chez le dentiste avec les gencives qui saignent.
Autant dire qu'entre d'éventuelles résurgences du virus et des militaires à la gâchette évidemment sensible, le quotidien est des plus stressants. La situation ne demande qu'une étincelle pour exploser et lorsque celle-çi survient, on est cloué à son siège jusqu'à un épilogue dont vous ne saurez rien, tant que vous ne serez pas aller voir cette petite merveille.
Mon conseil : A voir pour Catherine McCormack, difficilement reconnaissable 12 ans après Braveheart.
Sentenza (ahahaha)
Mon conseil : A voir pour Catherine McCormack, difficilement reconnaissable 12 ans après Braveheart.
Sentenza (ahahaha)
3 commentaires:
je suis pas tout à fait d'accord, autant le début du film est géniallissime ca c'est vrai, pour une fois on change un peu les codes des le départ et j'ai adoré.
Autant la suite je suis pas trop fan du coté militaire et guerilla qui ressemble un peu trop au film de zombie du genre. Mais ca reste un bon film la musique est exceptionnelle et moi qui passe par le troca pour rentrer chez moi à pied je peux vous dire que j'ai fait gaf en rentrant ^^
Par contre je crois que j'ai préféré l'ambiance du premier qui était plus intimiste enfin ca fait longtemps que je l'ai pas vu c'est peut etre une fausse impression il faudrait que je le revois.
Mais rien que pour le début du film et la musique il vaut largement le détour :)
C'est noté. J'étais tiède, vous m'avez réchauffé. J'irai.
Persoje trouves que le début est ultime, la musique sublime et quelques scènes sont terriblement efficaces (le napalm, le gaz etc...). Mais au global c'est un ton en dessous du 1er. Mais c'est tout de même un très bon flim (attention ce flim n'est pas un flim sur le cyclisme)
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