Buzz : Après Leviathan (2014), le Russe Andreï Zviaguintsev revient en sélection officielle au Festival de Cannes avec Faute d'amour (aka Loveless aka Nelyubov). Les premières réactions des festivaliers sont tombées. Florilège.
Dans Faute d'amour, un mari et son épouse en instance de divorce sont amenés à se réconcilier pour retrouver leur fils de douze ans, qui a disparu à la suite d'une de leurs disputes.
Pour notre rédacteur Travis Bickle, "Faute d'amour est un film implacable et désespéré. La mise en scène est magnifique mais trop solennelle, au point qu'Andreï Zviaguintsev frôle parfois la caricature. Des défauts qui ne devraient pas empêcher le film de se retrouver au palmarès". Découvrez sa critique complète sur LCI.fr.
Pour notre rédacteur Travis Bickle, "Faute d'amour est un film implacable et désespéré. La mise en scène est magnifique mais trop solennelle, au point qu'Andreï Zviaguintsev frôle parfois la caricature. Des défauts qui ne devraient pas empêcher le film de se retrouver au palmarès". Découvrez sa critique complète sur LCI.fr.
#Loveless : formellement implacable, thématiquement désespéré. Le prototype du film d'auteur cannois ? #Cannes2017— sylvain lefort (@TravisBrickle) 17 mai 2017
#Loveless Leçon de mise en scène avec un chef op de folie. Le scenario patine un peu au 2/3 mais c'est fort. #cannes2017— Yannick VELY (@yannickvely) 17 mai 2017
Sobre et tendu, #Loveless ausculte un égocentrisme d'élite, lent poison violent d'aujourd'hui #Cannes2017— TROISCOULEURS (@Trois_Couleurs) 17 mai 2017
#FauteDAmour : mise en scène et photos vraiment impressionnantes. Œuvre froide où la neige a le goût de cendre. Zviaguintsev convainc.— Mehdi Omaïs (@MehdiOmais) 17 mai 2017
#Cannes2017 L'excellent #Fautedamour c'est la même histoire que Papa ou Maman (en beaucoup moins drôle). @20Minutes @Pyramide_Films— Vié Caroline (@Caroklouk) 17 mai 2017
1er film en compet @Festival_Cannes #FauteDAmour du russe #Zviaguinstev : thriller familial glaçant, glacé des années poutine @LVT_RTL— Stéphane Boudsocq (@Stephbou08) 17 mai 2017
C’est fou comme tout ce que filme Zvyagintsev prend une ampleur extraordinaire. #Cannes2017— David Honnorat (@IMtheRookie) 17 mai 2017
Un bon @arnaudesplechin, mais un peu déçu par le déprimant Zviaguintsev à #Cannes2017 Compte rendu: https://t.co/8PhJJ9UqbO #LeSoleil pic.twitter.com/pfnzseiaEO— Éric Moreault (@moroSoleil) 17 mai 2017
Anderton
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