Buzz : Une Femme douce (Krotkaya) de l'Ukrainien Sergei Loznitsa, en compétition officielle au Festival de Cannes, est loin d'avoir convaincu les critiques. Malgré un début prometteur.
Libre adaptation d'une nouvelle fantastique de Dostoïevski, Une Femme douce suit les traces d'une femme qui veut rendre visite à son mari, incarcéré pour un crime qu'il n'a pas commis.
#Cannes70 reprend des couleurs avec le très beau #Unefemmedouce de Sergei Loznitsa, film brillamment littéraire et violemment politique. pic.twitter.com/1YRhct3BLM— Frederic Strauss (@FredericStrauss) 24 mai 2017
Formellement sublime (Oleg Mutu) #UneFemmeDouce est trop long et démonstratif mais c'est quelque chose quand même. #cannes2017— Yannick VELY (@yannickvely) 24 mai 2017
J'ai donc failli aimer un film de Sergei Loznitsa... jusqu'à cette fin consternante. #UneFemmeDouce— Laure Croisette (@LaureCroiset) 24 mai 2017
#UneFemmeDouce: une jeune russe mutique veut livrer un colis à son mari en prison. Interminable, ennuyeux, le premier vrai nanar de #Cannes pic.twitter.com/uZJOFCsW7B— Olivier Delcroix (@Delcroixx) 24 mai 2017
#Cannes2017 #unefemmedouce Comprenne qui pourra ! Pour ma part, je suis resté hermétique au sort de cette pauvre femme.. et puis 2h20..— Mathieu Charrier (@MaTCharrier) 24 mai 2017
— Stéphane Boudsocq (@Stephbou08) 24 mai 2017
#Cannes2017 #UneFemmeDouce deploit le cinema riche de #loznitsa mais propos rebattu et séquences étirées trouvent cette fois leurs limites— Fabrice Leclerc (@Fab_LCL) 25 mai 2017
Anderton
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire