Artistes : Comme tous les mois, Première offre un aperçu de l'actu ciné nationale et internationale. Et comme tous les mois, on retrouve dans les pages du magazine, tout un tas de stars qui ont plein de choses à dire sur tous les sujets et sur eux en particulier. Dégustons ensemble ce florilège printanier de petites phrases empruntes de spiritualité...
. La plus poétique
"J'ai reçu plein de courriers à la sortie du film. Les gens m'écrivaient des déclarations, pas forcément d'amour mais d'existence".
(Romain Duris à propos du Péril Jeune : Rien à dire, c'est beau, c'est simple, c'est vrai. On ferme les yeux et on médite)
. La plus incohérente
"Je ne me reconnais pas forcément dans les films générationnels de Cédric [Klapisch], ce qui ne m'empêche pas de les aimer. J'ai toujours été un peu à part, en classe ou dans les cours de théâtre".
(Juliette Binoche : Rapport entre les films de Klapisch et son sentiment d'originalité ? On s'interroge et on préconise une bonne thérapie)
. La plus sensée :
"Le sexe n'est pas un danger et peut servir d'exutoire. Si les gens ne baisaient pas, ils se taperaient dessus. Le porno a une véritable utilité sociale".
(Gaspard Noé : C.Q.F.D)
. La plus mystique :
"On le tenait pour un intellectuel, il n'était qu'un homme du ciel et de la terre. Comme nous tous".
(Michel Piccoli à propos de Luis Bunuel : ben... Amen.)
. La plus rhétorique :
"J'aime quand les choses ne sont pas démonstratives, qu'il n'y a pas de pléonasme".
(Sandrine Kiberlain : oui... Mais on fait comment si on ne distingue pas la synegdoque de la métonymie ?)
. La plus motivée :
"J'ai pensé qu'il était temps, plutôt que d'être un réalisateur qui se masturbe intellectuellement, de me masturber pour de bon à l'écran".
(Steven Soderbergh défendant Schizopolis dans le Première d'avril 1997)
. La plus lucide :
"Bruce sait qu'on ne peut pas tourner ce genre de film en se prenant trop au sérieux. Sinon on devient Steven Seagal".
(Justin Long, partenaire de Willis dans Die Hard 4 : ... Die Hard... Depuis quand Bruce Willis joue dans des films allemands ?)
. La plus mégalo :
"D'abord, je ne me qualifierais pas du tout de girafe. Cette comparaison, ras le bol ! Je me décrirais passionnée, actrice, musicienne, vivante, mère, inquiète, drôle (beaucoup plus qu'on ne l'imagine), fragile, dure à la douleur, honnête. Mes défauts ? Obsessionnelle, impatiente, trop exigeante ; puis, revers de mes éventuelles qualités, inquiète et aussi... actrice".
(Sandrine Kiberlain toujours : oui, enfin, "girafe", c'était plus court non ?)
Black-Mamba (qui ne se moque pas...)
. La plus poétique
"J'ai reçu plein de courriers à la sortie du film. Les gens m'écrivaient des déclarations, pas forcément d'amour mais d'existence".
(Romain Duris à propos du Péril Jeune : Rien à dire, c'est beau, c'est simple, c'est vrai. On ferme les yeux et on médite)
. La plus incohérente
"Je ne me reconnais pas forcément dans les films générationnels de Cédric [Klapisch], ce qui ne m'empêche pas de les aimer. J'ai toujours été un peu à part, en classe ou dans les cours de théâtre".
(Juliette Binoche : Rapport entre les films de Klapisch et son sentiment d'originalité ? On s'interroge et on préconise une bonne thérapie)
. La plus sensée :
"Le sexe n'est pas un danger et peut servir d'exutoire. Si les gens ne baisaient pas, ils se taperaient dessus. Le porno a une véritable utilité sociale".
(Gaspard Noé : C.Q.F.D)
. La plus mystique :
"On le tenait pour un intellectuel, il n'était qu'un homme du ciel et de la terre. Comme nous tous".
(Michel Piccoli à propos de Luis Bunuel : ben... Amen.)
. La plus rhétorique :
"J'aime quand les choses ne sont pas démonstratives, qu'il n'y a pas de pléonasme".
(Sandrine Kiberlain : oui... Mais on fait comment si on ne distingue pas la synegdoque de la métonymie ?)
. La plus motivée :
"J'ai pensé qu'il était temps, plutôt que d'être un réalisateur qui se masturbe intellectuellement, de me masturber pour de bon à l'écran".
(Steven Soderbergh défendant Schizopolis dans le Première d'avril 1997)
. La plus lucide :
"Bruce sait qu'on ne peut pas tourner ce genre de film en se prenant trop au sérieux. Sinon on devient Steven Seagal".
(Justin Long, partenaire de Willis dans Die Hard 4 : ... Die Hard... Depuis quand Bruce Willis joue dans des films allemands ?)
. La plus mégalo :
"D'abord, je ne me qualifierais pas du tout de girafe. Cette comparaison, ras le bol ! Je me décrirais passionnée, actrice, musicienne, vivante, mère, inquiète, drôle (beaucoup plus qu'on ne l'imagine), fragile, dure à la douleur, honnête. Mes défauts ? Obsessionnelle, impatiente, trop exigeante ; puis, revers de mes éventuelles qualités, inquiète et aussi... actrice".
(Sandrine Kiberlain toujours : oui, enfin, "girafe", c'était plus court non ?)
Black-Mamba (qui ne se moque pas...)
2 commentaires:
Soderbergh se masturbe pour de bon de bon ? Vrai de vrai ? On a les images quelque part ?
Investigations en cours...!
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