Buzz : En France , il n'y a plus de mensuel cinéma digne de ce nom. Entre CinéLive, Studio et Première (dont j'avais déjà annoncé la mort inéluctable), franchement c'est la cata. Les photos sont pourries, les articles sont ni faits ni à faire, y a aucun sujet de fond mais surtout, surtout il leur manque par dessus tout, UNE chose : communiquer l'envie d'aller au cinéma. Comprendre ce que recherche le public et l'orienter vers les salles obscures.
Aucun des trois mensuels ciné n'a fait sa couverture sur les Chtis. Tout est dit.
Je mentionnais les photos pourries. Vous avez deja vu les couv' de Vanity Fair (découvrez ici quelques-unes des superbes photos d'Annie Leibovitz) ? Ça a de la gueule ; ça déchire. La preuve :
Je mentionnais les photos pourries. Vous avez deja vu les couv' de Vanity Fair (découvrez ici quelques-unes des superbes photos d'Annie Leibovitz) ? Ça a de la gueule ; ça déchire. La preuve :
Non mais vous avez vu ce qu'ils font, les Ricains, quand ils mettent des smokings en couverture ?
L'envie d'aller au ciné, le plaisir simple d'apprécier une bonne comédie...
Je crois que je vais monter un stage de désintoxication des journalistes qui parlent de cinéma. On leur apprendrait à se départir de ce mépris affiché pour les films simples qui font rire. On mettrait en avant les acteurs populaires. On arrêterait d'intellectualiser tout et n'importe quoi. Sérieux , ça vient d'où ce besoin inné d'intellectualiser tous les films chez les critiques ?
En fait, il y a autant de violence chez les critiques ciné que chez les critiques culinaires (revoyez Ratatouille et le très bon foutage de gueule du critique). J'en déduis que la même aigreur doit se loger dans leur petit estomac...
Johnson & Johnson (décapant industriel)
1 commentaire:
En même temps, Bruel, Duris et Magimel, c'est pas la même étoffe que Stiller, Wilson, Rock et Black ! Bon, Dujardin, c'est l'exception : du Convoyeur à OSS 117, il impressionne.
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