Artistes : A 24 heures du Prix Lumière 2016 attribué à Catherine Deneuve par le Festival Lumière, Cineblogywood revient sur les films moins connus de l'actrice française. Peu prisé par le cinéma français, le film de genre croise la filmographie de Catherine Deneuve au moins à trois reprises. Avec des succès mitigés...
L’Agression (1974), de Gérard Pirès. Vigilante movie made in France, L’Agression repose sur un scénario signé Jean-Patrick Manchette, excusez du peu ; un casting king size – Jean-Louis Trintignant, Claude Brasseur, Daniel Duval, Daniel Auteuil, Etienne Chicot et... Robert Charlebois ! – et sur le charme de Catherine Deneuve, dans le rôle de la belle-sœur éplorée, qui tombe très vite dans les bras du justicier dans la pampa, JLT. Beaucoup d’incohérences dans l’une des rares incursions du cinéma français dans ce genre.
Fréquence meurtre (1988), d’Elisabeth Rappeneau. Une psychiatre est harcelée par un anonyme dans les émissions radio qu’elle anime. A partir d’une intrigue scénarisée par Jacques Audiard, Catherine Deneuve compose un personnage à l’américaine qu’on voudrait voir sorti de Terreur sur la ligne ou de Seule dans la nuit. Mais qui s’avère vite du niveau d’une dramatique TV d’alors...
Le Concile de pierre (2006), de Guillaume Nicloux. Dans cette adaptation du thriller de Jean-Christophe Grangé, Catherine Deneuve se montre particulièrement mal à l’aise dans le rôle de la chercheuse qui détient toutes les clés de l’intrigue.
Travis Bickle
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