Buzz : Un film de Christophe Honoré ne laisse pas indifférent. Surtout lorsqu'il est en compétition au Festival de Cannes. Plaire Aimer et Courir Vite a emballé les festivaliers, d'autant qu'il y a des inconditionnels du cinéaste. Les interprétations de Vincent Lacoste, Pierre Deladonchamps et Denis Podalydès y sont pour beaucoup. La comparaison avec 120 Battements par minute n'a pas manqué...
Une ouverture d'une puissance évocatrice hallucinante, des comédiens en apesanteur, une mise en scène qui tient toujours le fil entre références, envolées romanesques et pureté émotionnelle— Simon Riaux (@SimRiaux) 10 mai 2018
Ah et la photo arrache le squeele#Cannes2018 #PlaireAimerEtCourirVite#ChialomètreActif pic.twitter.com/6luRL84OgJ
#PlaireAimerEtCourirVite saisit par la force tranquille des interprétations de Pierre Deladonchamps (superbe) et Vincent Lacoste (inattendu). Parfois un peu longuet, le résultat marque aussi dans ses moments d’émotion fugaces. Un Honoré bon cru ! #Compétition #Cannes2018 pic.twitter.com/HwpVzUv4Zu— Mehdi Omaïs (@MehdiOmais) 10 mai 2018
Avec #PlaireAimerEtCourirVite , on est passé de #120battements à 3, 4 par minute pic.twitter.com/A0MGlLRGOn— Fernand DENIS (@fernanddenis) 10 mai 2018
#PlaireAimerEtCourirVite et Aimer. Et plaire. Et courir vite. Et Aimer encore. Et plaire toujours. Et courir plus vite que ne défile le compte à rebours. Merci @ChHonore 😘— Aude Dassonville (@AudeDassonville) 10 mai 2018
C'est beau #PlaireAimeretCourirVite . Le début et la fin des amours racontés avec un même élan. Le rythme est un peu décontenançant mais Vincent Lacoste est tellement génial, tellement émouvant qu'on ne voudrait pas qu'il disparaisse de l'écran.— Renan Cros (@imnotgenekelly) 10 mai 2018
Allez, vite le tome 2 !
#Cannes2018 Avec #PlaireAimerEtCourirVite Christophe Honoré signe son plus beau film depuis Les Chansons d'Amour... Une idylle chronométrée entre un écrivain malade du SIDA et un jeune étudiant... La mort rode mais le film est lumineux notamment grâce aux références années 90. pic.twitter.com/7xVhFq44Dc— Mathieu Charrier (@MaTCharrier) 10 mai 2018
Je préfère être honnête : j'ai trouvé #PlaireAimerEtCourirVite horrible. Une torture.— InThePanda (/Cannes) (@InThePanda) 10 mai 2018
Ça veut être Campillo sans comprendre sa mise en scène, Dolan sans saisir sa magie, c'est un calvaire qui va même jusqu'à se toucher sur la tombe de Truffaud.
Bref : plus jamais ça, pitié. pic.twitter.com/SpvaFG5J5d
Un film qui m'a plu (beaucoup), que j'aimerais que vous aimiez, alors courez-y vite ! #PlaireAimerEtCourirVite est à l'affiche dès ce soir et donc pas qu'à #Cannes2018 Très grands rôles pour @DeladonchampsP et Vincent Lacoste 👏 @ChHonore pic.twitter.com/QGEItd6E1w— Brigitte Baronnet (@BBaronnet) 10 mai 2018
Secoué en sortant de #PlaireAimerEtCourirVite, le dernier film de Christophe Honoré. Formidable ode à la vie emmené par un immense Pierre Deladonchamps. C’est romantique, drôle, intense et bouleversant. #Cannes2018 pic.twitter.com/MLgsLFXFDR— Benjamin Rabier (@benjaminrabier) 10 mai 2018
#PlaireAimerEtCourirVite n'est pas Les Chansons d'Amour bis ! Honoré signe une histoire d'amour plus posée, parlant aussi bien de lui que de sa jeunesse et d'une époque révolue, et mêle les deux facettes de son cinéma avec émotion et tendresse. #Cannes2018 pic.twitter.com/IBA0LI1xdU— Maximilien PIERRETTE (@maxp26) 10 mai 2018
Longue ovation pour l’équipe de #PlaireAimerEtCourirVite, le nouveau film de Christophe Honoré. Un prix d’interprétation collectif serait tout à fait mérité. #Cannes2018 pic.twitter.com/WWx3V5OSdZ— Céline Bourdin (@bourdinceline) 11 mai 2018
#SorryAngel, with its "piercing intelligence and heartbreaking beauty," is a bittersweet marvel. @rilaws reviews: https://t.co/GptJjrVeNU #Cannes2018— VANITY FAIR (@VanityFair) 10 mai 2018
David Acacia falls in love with Christophe Honoré's #SorryAngel in #Cannes2018 competition, just like the two protagonists in the film https://t.co/2GzMijoNug pic.twitter.com/lVQ5Btv8Gg— IntlCinephileSociety (@ICSfilm) 11 mai 2018
Sorry, Angel is frank, compassionate and often funny. Poignant without too much maudlin melodrama in telling its love story of two generations of gay men in the era of AIDS in 1993 France. #Cannes2018 #SorryAngel— Erik Anderson (@awards_watch) 10 mai 2018
Anderton
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