Buzz : Septième et dernier épisode de la saison 6 de notre Questionnaire cannois (découvrez toutes les interviews). C'est au tour d'Alexis Hyaumet, co-fondateur de la revue Revus & corrigés, de nous parler de son Festival de Cannes. En mode projos-boulot-dodo. Avec Mad Max en embuscade.
Qu'êtes-vous venu faire à Cannes ?
Comme je lance un nouveau projet média et que nous sommes dans la dernière ligne droite avant le lancement, je suis à Cannes pour y faire des rencontres avec des professionnels à ce sujet, mais également couvrir certaines sélections pour le premier numéro. Et, s’il me reste du temps, voir des films plus récents, prendre le soleil et, si j’en trouve le temps, dormir un peu !
Combien de fois avez-vous participé au Festival ?
Ce sera la 4e année consécutive.
Qu’attendiez-vous de cette édition 2018 ?
Des opportunités professionnelles et de belles rencontres. Cette année était plus particulièrement chargée que les précédentes pour mon cas.
Quel est votre plus grand plaisir pendant le Festival ?
Flâner au soleil. Ce qui est plaisir extrêmement rare sur place ! Beaucoup pensent qu’il ne s’agit que d'oisiveté et de parades sur le tapis rouge alors qu’en coulisses, ça turbine sec.
Qu’est-ce qui vous énerve le plus ?
L’année dernière était surtout les désagréments liés aux nouvelles règles de sécurité. Pas que j’y sois contre, loin de là. Mais d’un jour à l’autre, les règles pouvaient changer - et même d’un vigile à l’autre.
Quel est votre plus beau souvenir ?
Je pense que ce fut la première projection de Mad Max Fury Road, où il est déjà rare de découvrir ce genre de film d’action dans le cadre du Festival de Cannes, mais surtout les applaudissements pendant et après le film et que, pendant les 10 jours restants de cette édition, tout le monde ne parlait QUE de Mad Max. Comme quoi!
Qu’y a-t-il dans votre valise ?
En dehors du nécessaire pour le séjour, j’y ai mis beaucoup de courage, d’abnégation, tout en laissant un peu de place pour tous les dossiers de presse à ramener au retour !
Quel est votre truc pour tenir le coup pendant la quinzaine ?
Le café et l’amitié partagée dans les files d’attentes avant chaque séance - l’essentiel du temps passé par un journaliste sur place.
Pour quel(le) artiste redeviendriez-vous un fan de base si vous le/la croisiez sur la Croisette ?
Aucune idée. Il faudrait que je le sois plus déjà, si je comprends bien la question. Je reste ouvert à changer d’opinion, mais comme ça, aucun nom ne me vient à l’esprit.
Votre fête cannoise la plus délirante, c’était où et quand ?
J’avoue ne pas détester ces petites soirées arrosées sur le rivage, mais je cours rarement ce genre d’événement. Il faut souvent négocier 48 heures avec moi au préalable pour me traîner à venir!
Quelle est votre Palme d’or préférée ?
De tous les temps? Difficile à dire. Entre Apocalypse Now, Taxi Driver, Barton Fink, Le Salaire de la peur ou Le Guépard. Mais ma plus récente, et pour des raisons personnelles plus que cinéphiles, il s’agit de Tree of Life de Terence Malick.
Quel est votre programme après le Festival?
Préparer le lancement de Revus & Corrigés, la nouvelle revue cinéma sur laquelle je travaille depuis un an. Un mal pour un bien, car je n’aurai pas le temps de subir le spleen traditionnel post-Cannes!
Suivez sur Twitter : @alexishyaumet et @revuscorriges
Comme je lance un nouveau projet média et que nous sommes dans la dernière ligne droite avant le lancement, je suis à Cannes pour y faire des rencontres avec des professionnels à ce sujet, mais également couvrir certaines sélections pour le premier numéro. Et, s’il me reste du temps, voir des films plus récents, prendre le soleil et, si j’en trouve le temps, dormir un peu !
Combien de fois avez-vous participé au Festival ?
Ce sera la 4e année consécutive.
Qu’attendiez-vous de cette édition 2018 ?
Des opportunités professionnelles et de belles rencontres. Cette année était plus particulièrement chargée que les précédentes pour mon cas.
Quel est votre plus grand plaisir pendant le Festival ?
Flâner au soleil. Ce qui est plaisir extrêmement rare sur place ! Beaucoup pensent qu’il ne s’agit que d'oisiveté et de parades sur le tapis rouge alors qu’en coulisses, ça turbine sec.
Qu’est-ce qui vous énerve le plus ?
L’année dernière était surtout les désagréments liés aux nouvelles règles de sécurité. Pas que j’y sois contre, loin de là. Mais d’un jour à l’autre, les règles pouvaient changer - et même d’un vigile à l’autre.
Quel est votre plus beau souvenir ?
Je pense que ce fut la première projection de Mad Max Fury Road, où il est déjà rare de découvrir ce genre de film d’action dans le cadre du Festival de Cannes, mais surtout les applaudissements pendant et après le film et que, pendant les 10 jours restants de cette édition, tout le monde ne parlait QUE de Mad Max. Comme quoi!
Qu’y a-t-il dans votre valise ?
En dehors du nécessaire pour le séjour, j’y ai mis beaucoup de courage, d’abnégation, tout en laissant un peu de place pour tous les dossiers de presse à ramener au retour !
Quel est votre truc pour tenir le coup pendant la quinzaine ?
Le café et l’amitié partagée dans les files d’attentes avant chaque séance - l’essentiel du temps passé par un journaliste sur place.
Pour quel(le) artiste redeviendriez-vous un fan de base si vous le/la croisiez sur la Croisette ?
Aucune idée. Il faudrait que je le sois plus déjà, si je comprends bien la question. Je reste ouvert à changer d’opinion, mais comme ça, aucun nom ne me vient à l’esprit.
Votre fête cannoise la plus délirante, c’était où et quand ?
J’avoue ne pas détester ces petites soirées arrosées sur le rivage, mais je cours rarement ce genre d’événement. Il faut souvent négocier 48 heures avec moi au préalable pour me traîner à venir!
Quelle est votre Palme d’or préférée ?
De tous les temps? Difficile à dire. Entre Apocalypse Now, Taxi Driver, Barton Fink, Le Salaire de la peur ou Le Guépard. Mais ma plus récente, et pour des raisons personnelles plus que cinéphiles, il s’agit de Tree of Life de Terence Malick.
Quel est votre programme après le Festival?
Préparer le lancement de Revus & Corrigés, la nouvelle revue cinéma sur laquelle je travaille depuis un an. Un mal pour un bien, car je n’aurai pas le temps de subir le spleen traditionnel post-Cannes!
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