Buzz : "Touchant" est certainement le qualificatif le plus utilisé par les journalistes pour qualifier Yomeddine, d'Abu Bakr Shawky, en compétition officielle au Festival de Cannes 2018. Bien sûr, tout le monde n'a pas été convaincu mais les petits défauts de ce film égyptien n'ont globalement pas empêché les festivaliers de s'enthousiasmer pour ce road-movie atypique.
Loin des films déprimants annoncés à #Cannes2018 , un bijou de finesse, de sensibilité et d'humour égyptien : #Yomeddine, de A.B Shawky. Road-movie un peu burlesque d'un lépreux chrétien en terre d'islam avec un âne, un gosse surnommé Obama et qqes Misérables/Freaks optimistes.— J-Christophe Buisson (@jchribuisson) 9 mai 2018
Bien que naïf, #Yomeddine déploie une touchante amitié entre un lépreux et un petit garçon. Très belle musique, qui rappelle celle des #BetesDuSudSauvage, mais propos un peu enfantin et mise en scène pauvre. #Compétition #Cannes2018 pic.twitter.com/iIfXrtRXtZ— Mehdi Omaïs (@MehdiOmais) 9 mai 2018
Magnifique retour de l’Egypte en compétition au @Festival_Cannes avec le formidable #Yomeddine de Abu Bakr Shawki très applaudi en projection presse ce soir pic.twitter.com/DeA5puaYDs— Patrick Simonin (@PatrickSimonin) 9 mai 2018
simple et touchant #yomeddine a tout du « petit » film qui touche au coeur. Apres je ne suis pas sur d’assister a la naissance d’un grand cineaste. #Cannes2018— Yannick VELY (@yannickvely) 9 mai 2018
#Yomeddine : beau road-movie entre un lépreux et un orphelin. Un premier film égyptien solaire, pas misérabiliste, et qui a tout pour emballer #Cannes2018 au rythme de sa super BO. pic.twitter.com/OoB2Bhbp8i— Maximilien PIERRETTE (@maxp26) 9 mai 2018
#Cannes2018 #Yomeddine un road movie égyptien attachant grâce à ses deux acteurs, débordant de bons sentiments, qui célèbre la différence et interroge le regard de l'autre. Une quête d'identité pleine de bienveillance et complètement inoffensive. pic.twitter.com/c2k9SBNIEI— Stéphanie Belpêche (@StephBelpeche) 9 mai 2018
Montrons #Yomeddine à nos enfants. Pour qu’ils comprennent qu’il existe un monde sans superpouvoirs ni prothèses bioniques #cannes2018 pic.twitter.com/y3gTfd6A2Z— Jerome Vermelin (@jvermelin) 10 mai 2018
#Cannes2018 @Festival_Cannes 2e film en compétition #Yomeddine formidable road-movie sur les origines, la famille et le pardon @le_pacte @LVT_RTL pic.twitter.com/RLIau70MvK— Stéphane Boudsocq (@Stephbou08) 9 mai 2018
#Yomeddine road buddy movie entre un lépreux et un orphelin, attachant mais trop sage pour réellement emporter #Cannes2018— Baptiste Etchegaray (@batetche) 9 mai 2018
C'est joli #Yomeddine. Ça deroule le programme convenu, avec pathos de circonstance et musique émouvante. Certes c'est pas bien original mais suffisament bien fait pour émouvoir vers la fin.— Renan Cros (@imnotgenekelly) 9 mai 2018
#Cannes2018 : #Yomeddine de #abubakrshawky, un touchant road movie égyptien contant le voyage de Beshay, lépreux aujourd’hui guéri, qui quitte sa léproserie pour rechercher sa famille. Standing ovation pour un film surprenant, sincère et lumineux. pic.twitter.com/GcCxEtGDhY— Olivier Delcroix (@Delcroixx) 9 mai 2018
#Cannes2018 #yomeddine Un lépreux perd sa femme et décide de traverser le pays accompagné d'un jeune garçon pour retrouver sa famille.. Un peu naif, mais touchant et le film nous interroge sur le regard qu'on porte sur la différence.. Jeu très juste des acteurs non professionels. pic.twitter.com/NQWQUhtZp5— Mathieu Charrier (@MaTCharrier) 9 mai 2018
Belle standing ovation pour #Yomeddine— pierre zeni (@pierrezeni) 9 mai 2018
Film égyptien d'un tout jeune cineaste #ABShawky et de sa productrice en compétition ce soir à #Cannes2018 pic.twitter.com/v3z6s32yrA
Anderton
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