Buzz : Paolo Sorrentino, l'un des rares rescapés Européens. Six films au compteur, cinq sélections officielles au Festival de Cannes, plus ou moins justifiées. Un record. Si l'on se souvient avec force et bonheur des univers d'Il Divo et Les Conséquences de l'amour, le reste laisse à désirer, notamment son dernier film à date This must be the place. Avec La Grande Bellezza, cette errance à travers Rome, sa jet-set, ses femmes, ses monuments, dans ce qui s'annonce comme une sorte de Dolce Vita réactualisée, et incarnée par son comédien fétiche Toni Servillo, viendra-t-il inscrire son nom au panthéon cannois, après celui de Nanni Moretti ? Il est le dernier cinéaste italien à avoir décroché une Palme avec La Chambre du fils, en 2001 (regardez le reportage de l'époque).
Travis Bickle
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