Artistes : J-8 avant l’ouverture du Festival de Cannes 2013. Rien qu’à cette idée, l’atmosphère météorologique se réchauffe déjà. Dans quelques jours, bon nombre de cinéphiles et professionnels du cinéma auront rendez-vous avec le 7e art.
Du 17 au 26 mai 2013, Cineblogywood sera sur la croisette et dans le palais des festivals pour vous faire vivre ces moments exceptionnels et vous informer des activités diurnes et nocturnes.
Et si comme moi, vous en salivez d’avance, vous savez probablement que le film d’ouverture présenté dans toutes les salles de France dès le 15 mai sera Gatsby le Magnifique, réalisé par l’un des plus étonnants metteurs en scène de notre époque : Baz Luhrmann. Chacun de ses films est doté d’une atmosphère romantique et féérique (Australia, Moulin Rouge, Romeo+Juliet).
Du 17 au 26 mai 2013, Cineblogywood sera sur la croisette et dans le palais des festivals pour vous faire vivre ces moments exceptionnels et vous informer des activités diurnes et nocturnes.
Et si comme moi, vous en salivez d’avance, vous savez probablement que le film d’ouverture présenté dans toutes les salles de France dès le 15 mai sera Gatsby le Magnifique, réalisé par l’un des plus étonnants metteurs en scène de notre époque : Baz Luhrmann. Chacun de ses films est doté d’une atmosphère romantique et féérique (Australia, Moulin Rouge, Romeo+Juliet).
In love with Leo
Gatsby, c’est d’abord un roman, celui de Scott Fitzgerald. L’histoire d’un homme fou d’amour, qui organise des fêtes somptueuses pour revoir et éblouir sa bien-aimée. C’est aussi un héros, que seul Leonardo DiCaprio pouvait interpréter. Car Leo, c’est le romantique torturé par excellence.
Mon amour infini pour Leo date de What’s eating Gilbert Grape. Vous voyez, rien à voir avec un amour de midinette. D’autres héros ont parfait ma fascination. Un peu plus à chaque film : Blessures secrètes, Rimbaud-Verlaine, Basket ball diaries, L’homme au masque de fer (bon ok, heureusement qu’il est là), The Beach, Catch me if you can, Les infiltrés… la liste est longue et aucun faux pas. Il me subjugue encore et encore. Avec son visage d’ange, il a fait pleurer toutes les jeunes filles (moi y compris) dans Titanic. Qui n’a pas rêvé que Jack survive ?
A propos, Marsellus Wallace me faisait remarquer que dans la plupart de ses films, Leo meurt toujours. C’est vrai, ça ! Ou alors il devient fou. Blood Diamond, Shutter Island, Inception… des rôles inquiétants dont l’acteur fait preuve chaque fois d’une profondeur d’émotion qui me laisse pantoise ! Que faut-il en déduire ? L’homme est prudent : Leo, c’est l’acteur d’un film. Pas de suite, pas de trilogie, pas de comeback. C’est maintenant ou plus jamais.
Il passe par ici, vous ensorcelle d’un regard. Tout est dit. A chaque apparition, c’est la même chose. Tiens encore la dernière fois, dans Django unchained, c’était pareil ! Et sa voix, c’est encore pire, je pourrais l’écouter parler pendant des heures. D’ailleurs, c’est le seul acteur américain que je comprenne les yeux fermés. Côté cœur, c’est moins brillant : ses conquêtes n’ont rien à voir avec l’image du héros romantique mais comme il est écolo et qu’il veille sur la planète, je lui pardonne.
RDV au Rex
Mon amour infini pour Leo date de What’s eating Gilbert Grape. Vous voyez, rien à voir avec un amour de midinette. D’autres héros ont parfait ma fascination. Un peu plus à chaque film : Blessures secrètes, Rimbaud-Verlaine, Basket ball diaries, L’homme au masque de fer (bon ok, heureusement qu’il est là), The Beach, Catch me if you can, Les infiltrés… la liste est longue et aucun faux pas. Il me subjugue encore et encore. Avec son visage d’ange, il a fait pleurer toutes les jeunes filles (moi y compris) dans Titanic. Qui n’a pas rêvé que Jack survive ?
A propos, Marsellus Wallace me faisait remarquer que dans la plupart de ses films, Leo meurt toujours. C’est vrai, ça ! Ou alors il devient fou. Blood Diamond, Shutter Island, Inception… des rôles inquiétants dont l’acteur fait preuve chaque fois d’une profondeur d’émotion qui me laisse pantoise ! Que faut-il en déduire ? L’homme est prudent : Leo, c’est l’acteur d’un film. Pas de suite, pas de trilogie, pas de comeback. C’est maintenant ou plus jamais.
Il passe par ici, vous ensorcelle d’un regard. Tout est dit. A chaque apparition, c’est la même chose. Tiens encore la dernière fois, dans Django unchained, c’était pareil ! Et sa voix, c’est encore pire, je pourrais l’écouter parler pendant des heures. D’ailleurs, c’est le seul acteur américain que je comprenne les yeux fermés. Côté cœur, c’est moins brillant : ses conquêtes n’ont rien à voir avec l’image du héros romantique mais comme il est écolo et qu’il veille sur la planète, je lui pardonne.
RDV au Rex
Alors, Gatsby, une nouvelle épreuve dont Leo ne sortira pas vivant ? Un nouveau chagrin en perspective? Pour protéger mon coeur et mon mascara, j’ai préféré retarder mon départ pour Cannes. Comme ça pas de risque de m’évanouir dans la foule. Mais pour ne pas manquer cette sortie, cette année, j’ai vu les choses en grand. C’est en effet au grand Rex que je me rendrai pour assister à la montée des marches et au film. Le cinéma organise une projection spéciale dès 19h, histoire de se sentir un peu dans l’ambiance de Cannes et faire "comme si l’on y était". Réservez vous aussi votre fauteuil et venez nombreux.
Quant à toi Leo, quels que soit tes rôles, quels que soit tes choix, "Je t’aime, J.E.T.apostrophe A.I.M.E." forever ! Long live Leo ! Long live le cinéma !
Mrs Peel
Quant à toi Leo, quels que soit tes rôles, quels que soit tes choix, "Je t’aime, J.E.T.apostrophe A.I.M.E." forever ! Long live Leo ! Long live le cinéma !
Mrs Peel
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