Buzz : Avec Marguerite et Julien, Valérie Donzelli joue gros. Pour sa première compétition au Festival de Cannes en tant que réalisatrice, après son triomphe obtenu avec La Guerre est déclarée, elle adapte un scénario signé Jean Gruault et destiné à François Truffaut. Carrément. Sur un sujet gros comme ça : l'inceste. Le tout situé à l'époque d'Henri IV mâtinée de pop ! Remous à la fin de la première projo. Forcément, les critiques sont partagés. Florilège.
#Cannes2015 énorme coup de cœur pour #margueriteetjulien 11ème film en compet. Audacieux, dérangeant, poétique @RTLFrance @LVT_RTL
— Stéphane Boudsocq (@Stephbou08) 18 Mai 2015
La grâce mélancolique de #margueriteetjulien lui donne beaucoup d'attraits. Coup d'éclat attendu sur la Croisette pour un film audacieux.
— Laure Croisette (@LaureCroisette) 19 Mai 2015
Il y a des choses qui m'accrochent un peu - les seconds rôles, le côté pop - mais ça crie son audace #margueriteetjulien
— Yannick VELY (@yannickvely) 18 Mai 2015
#margueriteetjulien, vignettes pompettes, un zeste pour les nuls tout en feuilletage du dimanche, artificiel et 15 ans trop tard ♡--♡
— frédéric beehupp (@fredericbee) 18 Mai 2015
#MargueriteetJulien est une très belle histoire d'amour incestueuse. Dérangeant mais élégamment porté par Anaïs Demoustier #cannes2015
— Khadija Moussou (@khadijamoussou) 18 Mai 2015
#margueriteetjulien 1 frere 1 soeur s'aiment. Trop. Conte moderne, saga très surprenante, parfois trop? Mais enivrante et belle! #cannes2015
— Mathieu Charrier (@MaTCharrier) 19 Mai 2015
Le Donzelli est beaucoup trop brouillon. Son imprécision produit parfois de l’énergie mais c’est insuffisant. #Cannes2015
— David Honnorat (@IMtheRookie) 19 Mai 2015
Dans l'esprit et la forme, Marguerite & Julien est plus proche du Peau d'âne de Jacques Demy que du Michael Kohlhaas d'Arnaud des Pallières, en compétition officielle à Cannes il y a deux ans.
Travis Bickle
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