Buzz : Mon Roi, auto-fiction cinématographique à partir de la séparation de Maïwenn d'avec Joey Starr marque une forme de reconnaissance pour la réalisatrice, après le spectaculaire coup de projecteur qu'a été sa précédente sélection au Festival de Cannes, Polisse (2011). Vincent Cassel et Emmanuelle Bercot sont à l'affiche (magnifique, d'ailleurs). A la projection de dimanche matin, le film a été applaudi... et hué. Les critiques sont donc divisés. Florilège.
#MonRoi #Maiwenn #VincentCassel Époustouflant pic.twitter.com/CSCZ9IS79n
— Corinne Mrejen (@comrejen) 17 Mai 2015
❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️ #MonRoi ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️ #MaiwennMaFemme ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️
— Marcelin Deschamps (@MarcelinDchmps) 17 Mai 2015
Vincent Cassel et Emmanuelle Bercot sont exceptionnels dans #MonRoi. #Cannes2015
— Mehdi Omaïs (@Les_Cinevores) 17 Mai 2015
#MonRoi : Maiwenn veut parler d'Amour et livre un royaume de vulgarité ni drôle ni emouvant. Long et inutile. Grosse déception #Cannes2015
— Cannes en Live ! (@cannesenlive) 17 Mai 2015
#MonRoi Douloureux échos des amours déchirantes, sans issue, sans rémission... Éprouvant. #Cannes2015
— Stéphanie Filmosaure (@Eowenn) 17 Mai 2015
Emmanuelle Bercot prend une sérieuse option pour le prix d'interprétation féminine. #MonRoi #Cannes2015
— Dom Maury Lasmartres (@Silence_Action) 17 Mai 2015
Gros coup de coeur pour Mon Roi ! @EmmBercot bouleverse une nouvelle fois #Cannes2015 !! Larmes aux yeux. @STUDIOCANAL @fclerc90
— Laurent Coët (@laurentcoet) 17 Mai 2015
Vrai plaisir concernant le duo principal (prix ?), Bercot royale et Cassel moins cabotin qu'à l'accoutumée. #MonRoi #Cannes2015
— Mg (@MgCinema) 17 Mai 2015
#MonRoi éprouvant et hystérique, à l'image de la passion dévorante que vit cette femme amoureuse d'un pervers narcissique.#Cannes2015
— Trois Couleurs (@Trois_Couleurs) 17 Mai 2015
#Cannes2015 8e film en compet : #MonRoi confirme l'immense talent de #Maiwenn pour filmer la vie @RTLFrance @LVT_RTL pic.twitter.com/FveMU44kAg
— Stéphane Boudsocq (@Stephbou08) 17 Mai 2015
Le tournant de la deuxième sélection cannoise peut être fatale pour bien des films. Souvenez-vous de celle d'Assassin(s), de Matthieu Kassovitz, en 1997, qui suivit le triomphe de La Haine. Le film fut assassiné (sic) par la presse et sifflé par le public. Je revois Michel Serrault embrasser Kassovitz sous la bronca ou le défendre avec véhémence lors de la conférence de presse (voir l'extrait du JT ci-dessous).
Travis Bickle
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