Buzz : Le Hongrois Laszlo Nemes (38 ans) a la lourde tâche d'entrer en compétition pour son premier film, Le Fils de Saul (Saul Fia). Avec un sujet propice aux polémiques : Auschwitz, vu à travers les yeux d'un Hongrois membre d'un Sonderkommando, qui chercher à faire enterrer son fils décédé dans le camp d'extermination. Les premières réactions, à découvrir ci-dessous, sont très positives.
Je ne me remets toujours pas du #FilsdeSaul. LA réponse à la question : comment représenter la Shoah? @AdVitam_distrib. La palme d'or est là
— Sophie Benamon (@Sophie_SCL) 15 Mai 2015
Puissant et terrible,#LeFilsDeSaul pose les pbs de responsabilité,morale, humanité ds la + inhumaine des circonstances: #shoah. #Cannes2015
— buisson jean-chri (@jchribuisson) 14 Mai 2015
Barely have the resources to process #Cannes2015 debut feature #SonOfSaul, an extraordinary Holocaust story. More tomorrow.
— Michael Phillips (@phillipstribune) 14 Mai 2015
There's not a single cliche in this horrifying Auschwitz-set drama. http://t.co/Rc7wOa2QiR #Cannes2015 pic.twitter.com/Qw6eou4ehJ
— Indiewire (@indiewire) 14 Mai 2015
— Kaleem Aftab (@aftabamon) 14 Mai 2015
En 1998, La Vie est belle de et avec Roberto Benigni avait suscité la polémique à Cannes pour avoir associé Shoah et comédie (voir la vidéo ci-dessous à partir de 4:24). Le jury présidé par Martin Scorsese lui avait cependant accordé le Grand prix du jury, permettant à Benigni de faire un numéro resté dans les annales cannoises.
Sinon, l'an dernier, un film hongrois avait déjà créé la sensation au Festival de Cannes. Souvenez-vous : White God, de Karol Mundruczo avait fait frémir la Croisette... et remporté le prix Un certain regard.
Travis Bickle et Anderton
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